Synthèses illustrées de la série "Science de l’Énergie du Mental"

Les audio seront accessibles courant juin - juillet 2025.

Merci de votre compréhension.


 

Synthèses de la mini-série

Bernard de Montréal Science de l’Énergie du Mental (1989 1994)

https://www.bernard-de-montreal-energie-du-savoir.com

 

Ces courtes présentations sont des extraits de chaque titre, fournies par une IA, à partir des  transcriptions manuelles originales, revues et corrigées, conforme à l’intégralité des audio.

 

Les illustrations vibratoires sont issues de la transcription manuelle originale.

 

En aucun cas L'IA ne peut remplacer l'écoute de la parole vibratoire de BdeM qui, seule, ouvre les centres psychiques, favorisant l'accès à une télépsychie universelle, quand c'est le temps pour chacun.

 

Dans le cas contraire ce ne sera que de la mémoire de l'intellect, devenue connaissance, sans aucun intérêt vibratoire évolutif.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 1 L’évolution de la conscience supramentale et le doute

Bernard de Montréal traite de l'évolution de la conscience supramentale et de son impact sur la transformation sociale et individuelle de l'humanité dans les générations à venir.

Conscience supramentale : Elle représente une évolution individuelle qui socialisera l'homme dans des conditions nouvelles, basées sur l'autonomie, la créativité et l'intelligence.  Elle ne peut être réduite à une conscience de groupe ou à une forme religieuse. 

1.    Transformation sociale : L'évolution de cette conscience entraînera une restructuration des modes de vie, libérant l'homme des systèmes économiques, sociaux et politiques actuels.  Cependant, cette transformation sera progressive et dépendra de la capacité individuelle à dépasser ses limitations. 

2.    Force intérieure : La conscience supramentale est caractérisée par une force intérieure, essentielle pour surmonter les illusions de l'ego et les défis sociaux.  Cette force ne peut être empruntée ou donnée, mais doit être développée. 

3.    Doute et décision : Le doute est un obstacle majeur à cette évolution.  L'homme doit éliminer le doute pour accéder à sa pleine conscience.  La capacité de prendre des décisions intégrales est liée à la force intérieure et à l'abolition des mémoires du passé. 

4.  Flexibilité et intelligence : La force doit être accompagnée de flexibilité, qui est l'intelligence de la force.  Elle ne doit pas être utilisée pour écraser, mais pour dépasser et transmettre. 

5.   Processus initiatique : L'évolution de la conscience supramentale implique des épreuves difficiles, testant l'ego et renforçant la force intérieure.  Ces épreuves sont nécessaires pour éliminer les failles et préparer l'individu à socialiser cette conscience.

6.    Dialogue et collaboration : L'homme ne peut évoluer seul.  Le dialogue et l'interaction avec d'autres individus sont essentiels pour affiner l'intelligence et ajuster la force.

En résumé, l'évolution de la conscience supramentale est un processus individuel exigeant, basé sur la force, l'intelligence, et la capacité à dépasser les limitations personnelles et sociales. Elle vise à créer une nouvelle civilisation, libérée des structures actuelles, où l'homme vivra en harmonie avec sa source et ses besoins.

 


2 La création de structures par l’homme conscient

Bernard de Montréal  explore les concepts de conscience supramentale, de puissance créative, de doute, et de partenariat dans l'évolution humaine. Voici un résumé des points principaux :

1.    Partenariat et Équilibre : L'homme conscient a besoin d'un partenaire pour équilibrer sa force créative et éviter des expériences de vie difficiles.  Le partenaire joue un rôle essentiel en ajustant cette force pour préserver la santé et l'harmonie.  La force de l'homme est orientée vers la construction, tandis que celle de la femme est axée sur l'équilibre dans cette construction. 

2.    Puissance vs Pouvoir : La puissance est créative et impersonnelle, tandis que le pouvoir est personnel et dominateur.  La puissance est essentielle pour engendrer des structures et des mouvements, alors que le pouvoir peut être dangereux et aliénant. 

3.    Doute et Évolution : Le doute est présenté comme une énergie naturelle et nécessaire dans le processus évolutif.  Il représente la distance entre l'homme et sa réalité, entre l'infinité et le particulier.  Le doute vibratoire est normal et protecteur, mais le doute psychologique peut être destructeur.  L'homme évolué apprendra à vibrer le doute sans sombrer dedans. 

4.    Création de Structures : L'homme conscient créera des structures en parallèle avec le système existant, sans être dominé par lui.  Ces structures permettront une vie plus libre et créative, loin de la dépendance au salaire et au système économique actuel. 

5.    Direction Sue vs Direction Voulue : La direction sue est intuitive et créative, tandis que la direction voulue est contrôlée et organisée. Les deux sont nécessaires pour équilibrer les structures et éviter une domination unilatérale. 

6.    Évolution Sociale et Besoins : Les besoins de l'homme évolueront avec le temps et les événements. La conscience supramentale créera les conditions nécessaires pour répondre à ces besoins de manière créative et harmonieuse. 

En conclusion, le document met en avant une vision de l'évolution humaine basée sur la conscience, la puissance créative, et l'équilibre entre les forces individuelles et collectives. 


Les deux niveaux de direction : sue et voulu

Réflexion supramentale de Bernard de Montréal sur le concept d'interface, opposé au face à face, dans les relations humaines et professionnelles.  

1. Interface vs Face à Face :

  • L'interface est définie comme une interaction basée sur la puissance et la collaboration, où les individus transcendent leur ego pour créer quelque chose de nouveau et équilibré.
  • Le face à face, en revanche, est marqué par le pouvoir, la confrontation et l'insécurité psychologique, où l'ego cherche à dominer. 

 

2. Importance de l'Interface :

  • L'interface est présentée comme le plus grand concept de communication du 20e siècle, permettant une véritable collaboration et une reconnaissance mutuelle des talents cachés. 
  • Elle nécessite un minimum d'ego, de sécurité intérieure et d'amour entre les participants pour fonctionner efficacement. 

 

3. Rôle de l'Amour :

  • L'amour est essentiel pour faire de l'interface.  Il permet de dépasser les barrières émotionnelles et mentales, facilitant une communication authentique et créative. 
  • Aimer, dans ce contexte, signifie "voir dans l'âme" de l'autre, au-delà des mots et des apparences. 

 

4. Évolution de la Conscience :

  • Bernard de Montréal parle de l'évolution de la conscience supramentale, qui passe de l'éveil individuel à une application sociale et collective. 
  • Il prévoit que vers 1992, les conflits entre personnalités commenceront à disparaître, laissant place à une collaboration harmonieuse basée sur l'interface. 

 

5. Exemples et Applications :

  • Plusieurs anecdotes illustrent le concept, notamment des interactions avec Donald et d'autres collaborateurs, où l'interface a permis de résoudre des problèmes logistiques ou de révéler des talents cachés. 
  • L'interface est décrite comme un processus vibratoire intense, nécessitant une force émotionnelle et mentale pour être soutenu. 

 

6. Vision Future :

  • Bernard de Montréal envisage un futur où l'interface remplacera le face à face dans les relations humaines, permettant une véritable socialisation de la conscience supramentale. 
  • Ce changement sera marqué par une reconnaissance mutuelle des intelligences et une disparition des insécurités liées à l'ego.

 

En résumé, l'interface est un outil puissant pour transcender les limitations de l'ego et créer des interactions basées sur l'intelligence, l'amour et la collaboration. Elle est essentielle pour l'évolution de la conscience humaine vers une application sociale harmonieuse. 


4 Le principe de l’interface

Le séminaire explore les concepts de conscience, d'évolution personnelle et sociale, et met en lumière le rôle des relations interpersonnelles, notamment dans le cadre du couple.  Bernard de Montréal distingue deux niveaux de conscience : l'éveil et le perfectionnement.  L'éveil est centré sur soi-même, tandis que le perfectionnement implique une interaction avec les autres, appelée "interface".  Cette interface est essentielle pour appliquer la conscience supramentale dans la matière et dans les relations humaines.

 

Dans le cadre du couple, Bernard insiste sur l'importance de l'harmonie et de l'équilibre.  Un couple déséquilibré peut chercher des compensations dans le social, ce qui constitue une illusion et peut mener à une rupture.  Il souligne que le couple doit évoluer ensemble, sur la même longueur d'onde, pour éviter les déséquilibres. 

 

L'évolution du couple est progressive et nécessite des ajustements constants. 

 

Enfin, Bernard de Montréal met en avant l'idée que la famille et le couple doivent primer sur les engagements sociaux.  Il considère que le social ne peut remplacer le couple, et qu'un équilibre entre les deux est indispensable pour éviter des illusions profondes.  La famille est le point de départ de toute extension vers le monde extérieur.


5 Se prémunir des illusions pour atteindre la conscience supramentale

Bernard de Montréal aborde des réflexions profondes sur la dynamique des couples, la conscience supramentale, et les illusions qui peuvent entraver leur évolution.  Bernard de Montréal explore plusieurs aspects, notamment :

1.    L'interface dans le couple : Il insiste sur l'importance de l'interface, qui est un processus de communication et de prise de décision.  Cependant, il souligne que l'interface doit être suivie d'actions concrètes pour éviter qu'elle ne devienne une simple stimulation verbale ou un rituel inutile.  L'interface doit permettre une transformation réelle du couple, pas seulement une réforme superficielle. 

2.  La conscience supramentale et le couple : Bernard explique que la conscience supramentale, bien qu'elle soit créative, ne doit pas compromettre l'équilibre du couple ou de la famille.  Il met en garde contre les dangers de socialiser cette conscience au détriment des relations intimes et familiales. 

3.    Les illusions dans le couple : Il critique les illusions qui maintiennent les couples dans des dynamiques stagnantes, comme la platonicité ou la stimulation mentale sans action.  Il insiste sur la nécessité de dépasser ces illusions pour atteindre une véritable unité et fonctionnalité dans le couple.

4.    Le rôle de la femme et de l'homme : Bernard met en lumière les différences entre les besoins et les karmas de l'homme et de la femme dans le couple.  Il affirme que la femme doit imposer ses besoins et se connaître pleinement pour éviter de souffrir dans une relation déséquilibrée.  L'homme, quant à lui, doit avoir la force d'aller chercher la femme et de répondre à ses attentes.

5.    La spiritualité et la sexualité : Il aborde la spiritualisation excessive dans les couples, qui peut créer des barrières émotionnelles et physiques, notamment dans la sexualité.  Il insiste sur l'importance de maintenir une connexion énergétique et émotionnelle entre les partenaires. 

6.    La recherche de partenaire : Bernard explique que la difficulté à trouver un partenaire réside souvent dans l'astralisation de la conscience, qui empêche les individus d'agir selon les lois de l'esprit.  Il encourage l'utilisation du contact intérieur pour surmonter ces obstacles et trouver un partenaire compatible. 

 

En conclusion, Bernard de Montréal propose une vision exigeante mais lucide du couple, où la transformation, l'action, et la conscience sont essentielles pour dépasser les illusions et atteindre une véritable unité. 


6 Talents et connexion : les deux niveaux de la créativité 

Bernard de Montréal explore la notion de créativité selon Bernard de Montréal, en la distinguant du talent.  La créativité est définie comme une connexion étroite entre la pensée et l'action, une "conscience en action" qui dépasse les limites imposées par la mémoire, l'ego et le karma collectif.  Elle implique une capacité à puiser dans des énergies subtiles et à transcender les expériences humaines ordinaires. 

 

Bernard souligne que la créativité véritable exige de surmonter le doute, considéré comme le principal obstacle à l'évolution humaine.  Ce processus nécessite une transformation profonde de la nature humaine, souvent accompagnée de souffrance et de lutte intérieure.  Il distingue deux niveaux de créativité : celle liée aux talents innés et celle liée à une connexion supérieure, cette dernière étant moins apparente mais plus puissante.

 

Enfin, il critique l'approche superficielle des projets, insistant sur la nécessité de les ancrer dans une conscience vibrante et intelligente, afin qu'ils transcendent l'expérience et deviennent réellement créatifs.  La créativité, dans son essence, est un chemin vers l'intouchabilité et la libération des contraintes terrestres. 


7 Le désastre comme point de départ des projets

Bernard de Montréal aborde la nécessité de ne pas avoir confiance aveugle dans la vie et souligne l'importance de l'unité entre la pensée et l'action pour atteindre la paix intérieure, tout en mettant en garde contre les dangers de la division de l'énergie dans les projets.

Bernard explore la complexité des projets et met en garde contre les dangers qu'ils peuvent engendrer, notamment le désastre, si les personnalités impliquées ne sont pas maîtrisées. 

Voici les points clés :

1.    Les projets et la personnalité : Les projets ne sont pas problématiques en eux-mêmes, mais ce sont les personnalités des individus qui peuvent les compromettre.  Il est essentiel de transmuter les personnalités pour devenir des personnes capables de contrôler leur énergie. 

2.    La paix comme priorité : La véritable unité entre la pensée et l'action réside dans la volonté d'atteindre la paix.  Les projets doivent être évalués en fonction de leur capacité à préserver cette paix, et non simplement pour le plaisir de l'action. 

3.    Le désastre comme point de départ : Tout projet doit être envisagé avec une perspective réaliste, en anticipant les défis et les risques.  Cela permet de mettre en place des contre-mesures pour éviter les échecs.

4.    L'importance de la voix : Dans un projet collectif, chaque participant doit avoir une voix et la manifester.  Sans cela, le projet risque de tomber sous une loi de domination, ce qui peut mener à des conflits et à l'échec. 

5.    La gestion des énergies : Les projets nécessitent une gestion consciente des énergies et des personnalités impliquées.  Si cette gestion est négligée, les projets peuvent devenir une source de stress et nuire à la santé des participants.

6.    Le processus évolutif : Les projets sont soumis à des lois vibratoires qui demandent une évolution constante des individus.  Avec le temps, les niveaux d'énergie et de conscience changent, ce qui peut modifier la perception et la gestion des projets. 

 

En résumé, Bernard de Montréal insiste sur l'importance de la conscience, de la maîtrise des personnalités et de la préservation de la paix dans la réalisation de projets.  Les projets doivent être abordés avec prudence, en anticipant les défis et en assurant un équilibre entre les individus impliqués. 


8 Créer des abris pour assurer la pérennité 

Bernard de Montréal traite principalement de la gestion des projets, de la créativité et des dynamiques interpersonnelles dans le cadre de la réalisation de ces projets.  Bernard de Montréal insiste sur plusieurs points clés :

1.    Conscience créatrice et pérennité des projets : Les projets doivent être basés sur une conscience créatrice, garantissant la continuité et la sécurité des individus impliqués.  Les participants doivent être soutenus, même en cas de difficulté, pour éviter le rejet et assurer la pérennité du projet. 

2.    Dé-astralisation de la finance : Il est nécessaire de libérer l'argent pour permettre le mouvement et la respiration constante des projets, en opposition aux lois astrales qui limitent la créativité. 

3.    Longévité et avortement des projets : La longévité d'un projet doit être sous contrôle.  Il est crucial de savoir quand avorter un projet pour éviter des pertes inutiles et conserver l'énergie pour d'autres initiatives. 

4.    Différence entre générativité et créativité : La générativité est le processus initial de mise en vibration, tandis que la créativité est l'unification de la pensée et de l'action sous contrôle humain, menant à la paix. 

5.    Appui mutuel et intelligence collective : La réussite des projets repose sur le principe de l'appui mutuel, où les individus reconnaissent et vérifient leur intelligence à travers celle des autres, en restant en vibration pour éviter la domination. 

6.    Importance des personnalités : Les personnalités impliquées dans un projet influencent sa santé et sa longévité.  L'équilibre entre les agents générateurs d'idées et les voix qui les modèrent est essentiel. 

 

En résumé, Bernard de Montréal met en avant une approche holistique et consciente de la gestion des projets, où la créativité, la responsabilité, et les dynamiques interpersonnelles jouent un rôle central pour assurer leur succès et leur pérennité. 


9 Créativité, simplicité et paix

La discussion porte sur les concepts de "l'opposition technique" et "l'appui mutuel" dans le cadre de la créativité et des projets collectifs.  Bernard de Montréal explique que l'opposition technique est une forme de confrontation vibratoire individuelle, essentielle pour équilibrer et sécuriser les projets.  Elle permet de neutraliser les influences astrales et karmiques, en créant un "éther mental" qui transcende les failles personnelles et les limites du temps. 

 

L'appui mutuel, basé sur cette opposition technique, est présenté comme une clé pour éviter le désastre dans les projets.  Il nécessite un processus préalable de soutien et de compréhension, où les personnalités sont aplanies grâce à l'interface collective.  Une fois les egos transparents, l'opposition technique devient naturelle et constructive. 

 

Bernard insiste sur l'importance de "supporter le processus" pour avoir le droit à l'opposition technique.  Cela implique une participation active et une compréhension profonde des dynamiques génératives.  Il donne l'exemple de sa relation avec sa femme, où l'appui mutuel est basé sur un respect vibratoire mutuel.

 

Enfin, il souligne que l'opposition technique devient intelligente lorsque la force générative ne peut plus s'y opposer, garantissant ainsi la sécurité et la pérennité des projets. 


10 L’opposition technique : définition et application 

Le séminaire traite principalement du concept d'« opposition technique » selon Bernard de Montréal. 

L'opposition technique est définie comme une forme de résistance vibratoire, non intellectuelle, qui permet de tempérer et d'équilibrer les projets générés par une force créative.  Elle est instantanée, sans réflexion, et repose sur une conscience vibratoire, une transparence et une absence d'intentions égoïques ou psychologiques.  Cette opposition est essentielle pour maintenir un rythme naturel et une qualité de vie face à la pression des projets, qui peuvent être accablants et déséquilibrants.

 

Bernard insiste sur l'importance de l'équilibre entre les projets et le rythme personnel, car les projets, souvent longs et exigeants, peuvent devenir oppressants sans opposition technique.  Il souligne également que cette opposition ne doit pas être une attitude, mais un contexte vibratoire qui s'inscrit dans une dynamique de création consciente.  Enfin, il met en garde contre les excès d'énergie ou d'intérêt pour les projets, qui peuvent mener à l'épuisement.

 

En résumé, l'opposition technique est un outil vibratoire permettant de gérer les projets de manière équilibrée et consciente, tout en préservant la qualité de vie et le rythme personnel. 


11 Le processus matériel a une fin, l’occulte n’en a pas

Le séminaire explore les concepts de processus créatif, opposition technique, projets individuels et collectifs, ainsi que les notions d'alliance et d'association.  Bernard de Montréal met en avant l'idée que tout projet, qu'il soit individuel ou collectif, est soumis à des lois universelles et nécessite une opposition technique pour éviter le désastre.  Cette opposition peut provenir des événements ou des individus impliqués dans le projet. 

 

Bernard de Montréal insiste sur l'importance de la maturité des personnalités dans la réussite des projets, soulignant que les failles humaines sont souvent la cause des échecs.  Les projets à long terme sont vus comme des éléments essentiels pour permettre à l'homme conscient de transcender le karma planétaire et de s'inscrire dans une évolution durable. 

 

Le processus est décrit comme multidimensionnel, avec des niveaux matériels et occultes.  Sur le plan matériel, il a une fin, mais dans l'occulte, il est infini.  Bernard souligne que le processus est un mystère, même pour ceux qui y participent, et qu'il est essentiel pour la régénération physique et mentale.

 

Enfin, il distingue entre alliance et association : l'alliance est permanente et basée sur la conscience, tandis que l'association est temporaire et karmique.  L'alliance permet une transmutation des failles et une évolution spirituelle profonde. 


12 Être brûlé par le processus : transformation et conscience accrue 

La séminaire explore des concepts complexes liés à la transformation personnelle, la conscience accrue et les processus évolutifs.  Bernard de Montréal discute de la notion d'être "brûlé par le processus", qui représente une désillusion profonde mais constructive face à l'évolution personnelle ou collective.  Il explique que cette "brûlure" est proportionnelle à la proximité avec les forces occultes et à la capacité de travailler avec elles. 

 

BdeM aborde également la trinité humaine (Père, Fils, Esprit) en la reliant aux centres d'énergie de l'homme : le mental, l'émotion et la sexualité.  

 

Bernard critique les inversions spirituelles et religieuses qui ont déformé ces principes, tout en prédisant une évolution où la sexualité sera contrôlée par le mental et déplacée vers le plan éthérique.  Enfin, il remet en question les conceptions traditionnelles du Christ et de la trinité, en soulignant leur dualité universelle (lumière et satanique). 

 

En somme, le discours met en lumière les défis de l'évolution de la conscience, les désillusions nécessaires pour grandir, et la réinterprétation des principes spirituels à travers une perspective supramentale.


13 La dualité du triangle cosmique

Bernard de Montréal traite de la dualité cosmique, de l'évolution spirituelle de l'homme et de la compréhension des concepts de Père, Fils et Esprit dans le contexte de la conscience et de l'involution. Il explore des concepts supramentaux complexes liés à la dualité cosmique, l'évolution de la conscience humaine, et la transition de l'involution à l'évolution.  

 

Il critique les systèmes religieux, scientifiques et sociaux qui, selon lui, ont maintenu l'humanité dans un état d'ignorance et de désinformation.  

 

Il insiste sur la nécessité pour l'homme de transcender ses émotions, de développer une conscience cellulaire, et de maîtriser les lois universelles pour accéder à une communication télépathique interplanétaire et à une véritable évolution. 

 

Il aborde la dualité du triangle cosmique, opposant involution et évolution, et critique les interprétations religieuses et philosophiques qui ont limité la compréhension humaine.  Il rejette l'idée que des figures comme le Christ puissent incarner la vérité absolue, affirmant que la vérité est intrinsèquement liée au mensonge.  Il appelle à une fusion des forces et à une transformation profonde de la conscience humaine, en dépassant les limitations imposées par les systèmes involutifs.

 

Enfin, il exprime une frustration envers les institutions scientifiques et religieuses, qu'il considère comme des obstacles à l'évolution humaine.  Il prône une approche basée sur la conscience individuelle et collective, libérée des dogmes et des illusions, pour permettre à l'humanité de fonctionner à un niveau cosmique et interplanétaire. 

 

Selon Bernard de Montréal, la différence entre l'esprit et la lumière réside dans leur rôle et leur fonction dans l'évolution de la conscience humaine :

·       L'esprit : Pour l'homme en évolution, l'esprit représente le pouvoir de contrôler la lumière.  Ce n'est pas une entité, une personne ou une intelligence, mais plutôt la capacité de l'homme à maîtriser les réseaux de communication cosmiques et à instaurer de nouvelles lois universelles.  L'esprit est lié à la transmutation des émotions et à la libération des limitations imposées par l'involution. 

·       La lumière : Pendant l'involution, l'esprit était perçu comme la lumière, une force qui adombré l'homme, notamment à travers les religions et les croyances spirituelles.  La lumière, dans ce contexte, était une énergie astrale qui dominait l'homme, le maintenant dans un état de dépendance et d'illusion. 

 

En résumé, dans l'involution, l'esprit est soumis à la lumière, tandis que dans l'évolution, l'esprit devient le pouvoir de l'homme sur la lumière.  Cette transition marque une étape clé dans l'émancipation et la transformation de la conscience humaine.

 

Selon Bernard de Montréal, la relation entre l'esprit et la conscience cellulaire est essentielle dans le processus d'évolution de l'homme. 

·       L'esprit : Dans l'évolution, l'esprit représente le pouvoir de l'homme sur la lumière et les réseaux de communication cosmiques.  Il est le résultat de la transmutation des émotions et de la libération des limitations imposées par l'involution.  L'esprit permet à l'homme de fonctionner de manière active sur différents plans, au-delà de la simple réflexion ou de la pensée. 

·       La conscience cellulaire Elle est décrite comme le mental des cellules, une forme de conscience profonde et intégrée qui transcende les limitations de la pensée et de l'émotion.  La conscience cellulaire est nécessaire pour que l'homme immortalise sa conscience et accède à une communication télépathique avec d'autres civilisations. 

·       Relation : L'esprit et la conscience cellulaire sont liés dans le sens où l'esprit, en tant que pouvoir sur la lumière, facilite l'émergence de la conscience cellulaire.  Cette dernière est indispensable pour que l'homme évolue vers une existence cosmique et interplanétaire, en dépassant les illusions matérielles et les systèmes involutifs.

 

En résumé, l'esprit agit comme un catalyseur pour la conscience cellulaire, permettant à l'homme de transcender ses limitations et d'accéder à une évolution supérieure. 


14 L’interface et l’initiation sont toutes deux nécessaires

Le séminaire traite de l'importance de l'interface dans la communication interpersonnelle pour transcender la personnalité et atteindre un niveau de conscience supérieur.

 

Il repose sur le concept fondamental de l'interface, qui est présenté comme un outil essentiel pour transcender la personnalité et accéder à la personne, en dé-astralisant le mental.  L'interface permet une communication créative entre deux individus, en transformant leurs vibrations astrales en vibrations mentales supérieures.  Ce processus favorise une synthèse entre les points de vue opposés, créant une vision globale et une intelligence collective. 

 

Il explore également la dynamique entre personnalités fortes et faibles, soulignant que la faiblesse est une illusion qui peut être transmutée grâce à l'interface.  Les personnalités fortes jouent un rôle clé dans ce processus, en aidant les faibles à développer leur propre force. 

 

L'objectif ultime est d'atteindre une relation équilibrée entre deux personnes créatives, libérées des limitations de leurs personnalités. 

 

Enfin, l'interface est décrite comme un principe évolutif, indispensable pour ajuster et affiner l'intelligence humaine, en dépassant les mécanismes de l'ego et en favorisant une conscience supramentale.  Ce processus est présenté comme une voie incontournable pour l'évolution individuelle et collective. 


15 S’aimer sans supporter l’incompétence mutuelle

Le séminaire traite des dynamiques relationnelles entre des individus de force et de faiblesse, explorant comment la créativité et la vision peuvent évoluer au sein d'un couple.

 

Il explore les dynamiques entre la force et la faiblesse dans les relations humaines, notamment dans les couples.  Bernard de Montréal met en avant l'idée que la force mentale, lorsqu'elle évolue et se dé-astralise, devient indépendante et ne peut plus supporter la faiblesse.

 

Cela entraîne des changements dans les relations, où le fort cherche à s'entourer de personnes qui stimulent sa créativité. 

 

BdeM insiste sur l'importance de l'interface, un processus d'échange mutuel permettant aux deux parties de transcender leurs faiblesses et de collaborer à un niveau plus élevé.  L'interface est décrite comme un mécanisme essentiel pour résoudre les problèmes sans médiateurs, en favorisant la transparence et la régénérescence mutuelle. 

 

Dans le contexte des couples, Bernard souligne que l'amour et le respect sont cruciaux pour équilibrer les forces et les faiblesses.  Il explique que les relations basées sur le karma de l'âme peuvent être limitées, tandis que celles fondées sur l'esprit permettent une véritable évolution.  Il met en garde contre les illusions liées aux sentiments et insiste sur la nécessité de créer un équilibre triangulaire dans les relations, où le positif et le négatif se synthétisent. 

 

Enfin, il aborde la souffrance comme un catalyseur de transformation, permettant aux individus de prendre des décisions difficiles et de se libérer des situations stagnantes.  L'évolution des couples dépend de leur capacité à dépasser leurs faiblesses et à fonctionner sur un plan créatif et équilibré. 


16 Fort ou faible la communication apporte une vision équilibrée

La conférence de Bernard de Montréal explore le concept de l'interface comme une dynamique essentielle dans les relations humaines, particulièrement dans le cadre de la créativité et de l'équilibre entre les forces.  L'interface est définie comme un espace d'échange où l'opposition créatrice entre deux individus permet de libérer chacun du poids de la créativité de l'autre, favorisant ainsi une autonomie créative. 

 

Il insiste sur l'importance de dépasser les rôles traditionnels imposés par la culture et la société, notamment ceux liés au genre, pour accéder à une "psychologie des profondeurs".  Cela implique que l'homme et la femme doivent transcender leurs fonctions intelligentes respectives (mâle et femelle) pour devenir des personnes créatives.  Dans ce processus, l'homme doit apprendre à "se dorloter" et la femme à débattre, ce qui permet un échange équilibré et respectueux. 

 

Enfin, Bernard de Montréal souligne que la force véritable réside dans la transparence et que l'interface est un outil pour calibrer la vision créative, éviter l'abus de pouvoir, et harmoniser les relations humaines. L'objectif ultime est de développer une conscience créatrice autonome et de maîtriser les événements de la vie sans doute ni faiblesse. 



18 La reconnaissance instantanée de l’intelligence de l’autre

La discussion porte sur les concepts d'écoute et d'entendement, en lien avec la puissance créative mentale et les relations humaines.  

 

Bernard de Montréal distingue l'écoute réelle, qui implique une reconnaissance instantanée de l'intelligence de l'autre et favorise l'actualisation de sa propre intelligence, de l'entendement, qui est conditionné par les états intérieurs de l'individu et peut paralyser ou freiner son évolution.

 

L'écoute est décrite comme un pouvoir permettant de bénéficier de l'esprit de l'autre, tandis que l'entendement peut être utile pour ajuster l'intelligence créatrice de l'autre ou nuisible lorsqu'il devient un mécanisme de protection contre ses propres faiblesses.  Une personne avec un "bel esprit" est capable de développer de l'écoute, ce qui la rend ouverte à l'autre, contrairement à une personne avec un "esprit fort" qui reste souvent enfermée dans ses opinions personnelles. 

 

Enfin, Bernard souligne que la lucidité, qui est liée à l'écoute, est essentielle pour créer librement sans être limité par l'ego. L'évolution de la conscience humaine passe par le passage de l'entendement à l'écoute, permettant ainsi une véritable interaction créative entre les individus. 


19 Loisirs équilibre essentiel entre travail et régénération

Le texte met en avant l'importance des loisirs dans la vie humaine, en soulignant qu'ils sont aussi essentiels que le travail pour maintenir un équilibre entre l'esprit et le corps.  Les loisirs permettent de ralentir le rythme mental, de se détendre et de découvrir des aspects créatifs de soi-même.  Ils doivent être choisis en fonction des besoins de l'esprit et non influencés par des pressions sociales ou des modes collectives. 

 

Deux types de loisirs sont distingués : les loisirs collectifs, souvent excitants, et les loisirs personnels, plus relaxants et proches de la nature humaine.  Pour être bénéfique, un loisir doit établir un lien entre l'esprit et la matière, et être une expression de la conscience créative de l'individu.  Il ne doit pas être imposé par des influences extérieures, mais correspondre à la vibration intérieure de la personne. 

 

L'homme conscient doit trouver un loisir qui lui est propre, adapté à ses besoins spirituels et physiques, afin de maintenir un équilibre énergétique.  Ce loisir doit être vécu de manière intégrale, comme une partie essentielle de la vie, et non comme une activité parallèle.  Il doit également évoluer avec le temps et les besoins vibratoires de l'individu. 

 

Enfin, BdeM critique les loisirs et sports influencés par la société, qui peuvent être déconnectés des besoins réels de l'esprit et devenir des activités superficielles ou nuisibles. L'homme conscient doit choisir ses loisirs en fonction de son esprit, pour équilibrer son énergie et vivre pleinement. 


20 La distinction entre le sens et le non-sens dans un projet

Bernard de Montréal traite de l'évolution de la conscience supramentale chez l'homme et de la nécessité de reconnaître et de transformer ses énergies mentales et émotionnelles pour atteindre un état de bien-être et de créativité.

Le texte explore la transformation de la conscience humaine vers un état supramental, en insistant sur les défis et les processus nécessaires pour atteindre cet état.  Voici une synthèse des idées principales :

1.    Conscience supramentale et évolution : L'homme doit évoluer vers une conscience supramentale, qui est une conscience supérieure, créative et permanente.  Cette évolution implique une réorganisation de l'énergie mentale et émotionnelle. 

2.    Malaise existentiel : Le malaise ressenti par l'homme conscient est une étape nécessaire de transformation.  Ce malaise est causé par le choc entre l'énergie supérieure et les structures inférieures de l'ego.  Il est temporaire et marque un processus de transmutation. 

3.    Créativité et transformation : La créativité n'est pas un acte de l'ego, mais le résultat d'une énergie transformée.  Pendant la transformation des centres inférieurs, l'homme ne peut pas être pleinement créatif, car son énergie est utilisée pour cette réorganisation. 

4.    Objectivité et détachement : L'homme conscient doit apprendre à se détacher psychologiquement de son état mental et émotionnel pour vivre le processus transformationnel de manière neutre et constructive. 

5.    Rôle du hasard : Le hasard est une illusion créée par l'émotion et le mental.  L'homme conscient doit dépasser cette conception pour comprendre que tout malaise est lié à l'activité de son énergie supérieure. 

6.    Transition entre inconscience et conscience : L'homme inconscient subit le malaise existentiel sans en comprendre les mécanismes.  L'homme conscient, en revanche, perçoit ce malaise comme une opportunité de transformation et de croissance. 

7.    Libération et équilibre : En acceptant le processus de transformation, l'homme conscient peut réduire la souffrance, se libérer des illusions de l'ego et accéder à un état de conscience plus élevé, équilibré et créatif. 

En résumé, le chemin vers la conscience supramentale implique une transformation profonde, marquée par des périodes de malaise et de réorganisation, mais qui mène à une liberté intérieure et une créativité authentique.