La mort



BdM: Parlez-nous un peu de la mort.
R: La mort est une résurrection dans les mondes parallèles où l’âme recycle ses énergies pour s’incarner dans des conditions plus favorables que celles qu’elle a quittées. Au cours de l’évolution, la sortie de l’âme s’exercera sur le plan éthérique au lieu du plan astral.
Ce n’est pas la mort ou la libération de l’âme de son enveloppe charnelle que nous remettons en question, mais le plan sur lequel elle fait son apparition après la période du décès.
Au cours de l’évolution, la fusion entre le mortel et l’ajusteur de pensée lui assurera une conscience morontielle au moment de la mort. Cette conscience éveillée identifiera naturellement la lumière du sud systémique, alors que la lumière astrale qui attire les âmes défuntes de l’involution est la lumière du nord systémique.
Ces deux lumières sont différentes. A la mort, la lumière blanche, froide et douce fait vibrer l’âme et le fait basculer sur son axe ; elle revit alors tous ses souvenirs, alors que dans un même temps, le contact avec la source de la pensée cesse.
Les morts, en astral, n’ont pas le privilège de penser. Les âmes défuntes suivent cette lumière car elles n’ont pas reçu de contre-indication au cours de l’existence matérielle. Cette condition changera au cours de l’évolution.
Éveillée, la conscience en fusion choisira son plan de sortie suite à la séparation des corps subtils et ne sera plus aspirée sur le plan astral ; elle se dirigera alors naturellement vers la lumière du sud systémique. La fusion lui permettra de se détacher de toute mémoire, ce qui lui redonnera la liberté de mouvement dont elle fut privée sur le plan astral.
Au moment de la mort, une des forces majeures d’attraction et de contrôle sur l’âme est la mémoire de la race. Il est important de se rappeler que cette mémoire expérimentale est le matériel intime utilisé par l’ego, au cours de la vie, pour la formation de sa conscience planétaire.
Tant que l’homme ne s’en sera pas libéré, il en sera victime, même en forme astrale. Ceci explique la grande naïveté des âmes défuntes qui n’ont d’autre référent que ce qu’elles ont enregistré au cours de l’expérience planétaire involutive.
Libérée de la mémoire de la race, la conscience en fusion maintiendra naturellement le cap vers la lumière du sud systémique puisque cette dernière se raccorde favorablement à la conscience du MOI universel. Plutôt que d’être attirée par la lumière du nord, c’est l’âme en fusion qui l’attirera à elle-même.
La lumière sera forcée de dévoiler sa réalité et sa fonction systémique. Elle se présentera à elle sous la forme d’un vaisseau séraphique qui en l’absorbant lui permettra de se déplacer dans les vastes espaces de l’univers local.
Lorsqu’un être passe du plan matériel au plan astral, il se sent fortement attiré par la lumière du nord qui sert de repère spirituel aux âmes défuntes sans pour autant dévoiler sa réalité, de sorte que les âmes éblouies croient reconnaître la lumière de Dieu. Le mensonge cosmique se poursuit jusque dans la mort.
Lorsque l’âme passe d’un monde à un autre, le passage à l’autre versant est d’une grande douceur lorsque la lumière se présente.
Par contre, les âmes avancées, suite à de nouvelles indications au cours de l’expérience matérielle, ne retourneront plus sur le plan astral ; elles feront leur chemin vers le plan éthérique où la nouvelle conscience morontielle leur permettra de ne plus perdre contact avec les circuits universels.
La communication entre le double et l’âme se poursuivra sans interruption et la conscience sera immortelle.
Les lumières du nord systémique qui attirent et consolent les âmes défuntes sont aussi des vaisseaux séraphiques, c’est-à-dire des transports universels. Leur fonction est d’analyser et d’enregistrer la mémoire de l’âme pour fins d’études ultérieures.
La lumière du nord systémique est un vaisseau sous le contrôle des forces de l’involution alors que la lumière du sud systémique est sous le contrôle des forces évolutives.
De là l’importance, capitale pour nous, de voir l’homme transmuter du plan astral au plan éthérique lors de la sortie de son corps matériel. C’est à ce point que se fera la croisée des chemins.
La mort est un espace habité par la conscience en forme astrale. L’état de mort est nébuleux pour l’homme, car sa conscience se dissocie difficilement de son enveloppe matérielle. Cette limitation explique le caractère étrange de la mort dans sa dimension strictement terrestre et astrale.
La mort engendre dans l’univers systémique plus de conflits que toute autre dissociation de conscience expérimentée par des êtres en évolution, car elle initie un jeu de pouvoir entre les différents niveaux de conscience et d’intelligence dans l’univers local.
L’âme est très prisée dans l’univers par les forces systémiques puisqu’elle représente une source enrichie d’expériences et d’informations dont profitent les forces cosmiques pour leur propre développement.
Elle n’est pas seulement un attribut absolu de l’homme, elle fait aussi partie des richesses systémiques non développées et non exploitées. L’emprisonnement de l’âme dans la chair indique une sous-condition temporelle et non une prédisposition universelle à la mort astrale.
Il y a dans l’univers local au-delà de 13 millions de civilisations dont les membres ne meurent pas.
La mort n’est pas simplement un changement de plan mais aussi une régression énergétique créée par les conditions astrales du MOI planétaire. Tant que le MOI n’est pas suffisamment évolué pour s’identifier à un niveau de conscience morontielle, il ne peut s’associer à des niveaux d’énergie supérieurs à l’astral, car ce plan de la vie systémique, en retrait des mondes avancés convient au degré de sa conscience.
Le mystère de la mort a toujours fasciné l’homme parce que les forces occultes de la nature sont incompatibles avec une vie matérielle dont la conscience est divisée en deux champs, celui de l’ego planétaire et celui de l’ego intemporel ou cosmique.
Tant que la paternité de l’ego intemporel ne sera pas reconnue, la mort demeurera un phénomène finalitaire et mystérieux. Lorsque l’homme aura reconnu son lien universel avec l’ego intemporel, la mort cessera d’être une représentation finalitaire de la vie et elle épousera un profil de conscience continue vers un autre plan que l’astral.
Le plan astral est un plan de mémoire, alors que le plan morontiel ou éthérique est un plan de lumière ascendante.
Sur le plan éthérique, la conscience est continue et ne crée pas de conditions de subordination à des systèmes hiérarchiques tels que ceux que l’on retrouve dans l’astral et qui imposent à l’âme un mouvement limité d’expérience et de vie.
L’âme est limitée en astral car elle ne peut s’opposer aux forces qui dominent son plan.
La mort, en réalité, est une dictature sévère qui découle de l’absence de lumière systémique sur les plans qui en définissent la réalité. Pour cette raison, il est nécessaire de comprendre les lois de la domination, si l’on veut comprendre les lois du bien et du mal qui statuent sur le degré de mortalité que doit expérimenter l’âme en évolution vers la lumière systémique.
Lorsque l’homme jouira d’une conscience morontielle, la mort ne fera plus partie de sa conscience. La vie systémique infusera dans sa conscience les éléments créatifs de son MOI universel qui doivent être intégrés au MOI planétaire afin que la mort n’existe plus en tant que finalité psychologique pour l’ego. L’évolution de la conscience du MOI permettra à l’homme de conquérir la mort ou son aspect psychologique en pénétrant les plans systémiques de la vie, avant de quitter pour toujours son enveloppe charnelle.
Cette condition éliminera l’angoisse de la mort et permettra à l’ego de vivre sa vie selon le caractère global de sa conscience.
Les plans de la mort sont « vivants » et la vie en forme astrale est une reproduction psycho-dynamique de la vie terrestre. La distinction ne réside que dans l’utilisation de la mémoire qui est le miroir reproducteur de toute conscience désincarnée et déconnectée de sa lumière, donc du pouvoir de la pensée.
Le reste appartient à la mort, c’est-à-dire à des conditions indépendantes de la conscience. Ces conditions déterminent le niveau de conscience possible dans un environnement systémique régi par des forces dont la nature est en opposition avec les forces de la lumière.
La mort est sous le contrôle des forces systémiques descendantes. Toute conscience astrale est régie par des forces qui s’opposent à la libération de l’âme. Le problème de la mort se situe à ce niveau.
Ce n’est pas la mort en elle-même qui cause un problème pour l’homme mais le fait que l’astral, ou l’environnement de la conscience astrale, est régi par des forces qui s’opposent à la liberté de l’esprit.
Que l’esprit soit sur le plan matériel, astral ou morontiel, dépend de sa relation avec la lumière. Dans un cas comme dans l’autre, il doit être libre ; il doit pouvoir lire dans la vie. Lire dans la vie veut dire comprendre la vie en tant que science.
Tant que l’homme ne peut comprendre la vie, il ne peut être libre sur le plan où il est. Il peut comprendre la vie sur le plan matériel, car ce plan est régi par l’esprit, bien que sa présence dans la conscience humaine, actuellement soit très limitée. Dans l’astral, l’esprit est impuissant.
C’est l’absence de l’esprit dans la conscience astrale du désincarné qui dicte les lois de la mort ou de la vie en forme astrale. C’est ce qui explique que les morts ne pensent pas. S’il n’y a pas de pensées, il ne peut avoir encore moins de télépathie avec les plans systémiques universels.
Sur le plan astral l’âme vibre en tant que mémoire morte. Sur le plan morontiel, elle est totalement indépendante de la mémoire puisque son lien avec l’esprit universel fait d’elle une lumière libre.
Elle ne peut retourner dans le temps involutif car la mémoire ne fait plus partie de sa nature ; elle est alors ouverte à son devenir et sa conscience s’harmonise parfaitement aux lois systémiques. Elle est alors immortelle et libre de se manifester sur tous les plans systémiques selon le besoin qu’elle éprouve.
L’homme ne comprendra la mort que lorsqu’il aura développé la conscience nécessaire à la libération de son ego envahissant qui bloque toute relation télépathique avec les plans systémiques.
La mort est un phénomène dont toute la dimension sera étudiée et réconciliée avec la vie lorsque les hommes auront intégré leur nature planétaire et leur nature cosmique.
Tant que la vie sur la Terre demeurera une expérience de l’âme et que la vie de l’esprit sera reléguée à l’arrière-plan de la conscience, la mort demeurera un phénomène incompris.
La mort astrale est un phénomène relativement récent sur l’échelle systémique de l’univers local. L’homme meurt car sa chair est régie par des forces matérielles qui ne sont pas intégrées à la spirale des forces de la vie.
Les êtres dont la conscience précède celle du terrestre ne connaissent pas le retour en forme astrale suite à la mort, puisque leur conscience est libre des forces lunaires.
Avant l’expérience de la mortalité terrestre, les liens karmiques avec le plan astral étaient inexistants. Par la suite, le plan astral est devenu de plus en plus un plan capital pour les structures invisibles de la conscience réformée, de sorte que de puissants liens karmiques unifièrent le plan astral au plan matériel.
Il se consolidèrent et firent de la mort l’évènement capital de l’expérience humaine, alors qu’en réalité c’est du plan mental que l’homme doit tirer, éventuellement, sa science, sa lumière pour bénéficier de la survivance de sa conscience en forme morontielle.
Lorsque la mort fut enregistrée et identifiée dans l’univers local, un grand nombre de civilisations envisagèrent d’exploiter le plan astral et en firent un plan-miroir qui devint une source inépuisable de modèles d’évolution qu’elles pouvaient exploiter.
Un plan-miroir est un assujettie à ses lois ou conditions. Elle peut magnétiser les unités de mémoires vivantes ou les âmes, afin de les intégrer à des circuits de vie plus avancés.
L’âme d’un désincarné est une riche et vaste source d’informations que peuvent exploiter scientifiquement les civilisations systémiques à cause de sa structure énergétique.
L’âme est une quantité matérielle et mesurable. La mort humaine est une situation avantageuse pour ces civilisations qui peuvent intervenir sur le plan astral et transborder certaines âmes vers leur monde, les invitant à habiter un corps chimique au lieu d’un corps animal.
Au cours de l’involution, cette condition fut très prisée et permit d’augmenter à volonté des populations numériquement faibles.
La conscience évolue sur différents plans de la vie systémique. La vie n’existe pas seulement sur le plan matériel auquel vous vous identifiez, elle pulse aussi sur des plans invisibles à l’œil nu.
Pour comprendre la mort et son caractère exclusivement terrestre, il vous faut réaliser qu’elle fait partie d’un phénomène relativement récent dans la galaxie et qu’elle ne représente pas une condition absolue de la vie.
Elle est un accident de parcours et non une condition irrémédiable de déchéance matérielle. Les êtres qui évoluent au-delà de votre espace-temps n’ont pas de corps animal. Leurs enveloppes sont composées chimiquement et, pour cette raison, ils ne peuvent impunément vivre sur votre plan sans protection à cause du taux inférieur de vos vibrations.
La mort est une condition de déchéance matérielle que le plan astral récupère pour des raisons qui dépassent l’ordre intellectuel ou spirituel que vous lui accordez.
La vie est un immense laboratoire ordonné. Lorsque la science de la Terre aura suffisamment évolué, la mort ne sera plus car les hommes sauront corriger la nature.
La mort est une dégradation des forces vitales dont est sujet le corps animal. Sur d’autres planètes, les corps sont synthétiques, dans ce sens qu’ils sont composés à partir d’une science fondée sur les lois de la lumière en tant que force fondamentale.
Pour vous, la lumière n’est que matérielle et il vous est difficile de réaliser qu’elle existe à plusieurs niveaux et est essentiellement omniprésente.
Même dans la noirceur la lumière existe ; elle est simplement non radiante mais sa portée demeure. Cette lumière, invisible à vos yeux, est une des sources d’énergie utilisées par d’autres civilisations lors de matérialisation de leurs corps.
Ces enveloppes remplissent le rôle et la fonction nécessaires à des êtres évoluant sur des plans inaccessibles à l’humain à cause de la densité de son corps astral et de l’opacité de son corps mental.
Vous affectionnez votre corps animal parce que vous le sentez ; d’autres êtres n’ont pas cet attachement particulier pour leur enveloppe matérielle qui leur sert simplement à passer d’un espace-temps à un autre selon les conditions qu’exige un tel transfert.
Les êtres extra-planétaires peuvent s’adapter à une variante de corps matériels lorsqu’ils passent d’un plan à un autre, ayant le pouvoir de matérialiser la pensée et de lui donner une forme selon leurs besoins.
La vie ne doit pas être vue comme un terminal, mais comme de vastes mondes à découvrir et à parcourir selon l’échelle d’évolution où se situe la conscience de l’être.
Lorsqu’un extra-terrestre meurt dans un accident, c’est-à-dire dans un échec matériel contrôlé, sa mort n’est qu’une apparence puisqu’il délaisse son enveloppe et en emprunte une autre moins dense.
Cela lui permet de continuer ses activités là où la « mort » l’a surpris. De cette manière, les civilisations venues d’ailleurs peuvent demeurer sur la Terre sans être perçues tant et aussi longtemps qu’elles le désirent.
L’accident est volontaire et permet au terrestre de venir en contact avec une technologie ou des corps physiques sans pour cela se voir impliquer.
La mort est remarquable du point de vue systémique car elle permet de camoufler les perceptions subjectives de l’homme face à la vie après la mort. Lorsqu’il sera en contact continu avec d’autres civilisations, il découvrira la raison pour laquelle un grand nombre d’êtres sont nécessaires sur une planète telle que la Terre, alors qu’une population de cet ordre sur une planète systémique créerait un déséquilibre psychique insurmontable.
La mort existe sur la Terre car la conscience est exécutrice et non créatrice. L’homme à l’impression que la vie est entre ses mains. Ce n’est qu’aux portes de la mort qu’il cesse de résister, ou lorsqu’il a suffisamment été éprouvé pour alerter son ego à l’illusion de sa vitalité animale et à l’acceptation de sa dégénération. Il développe alors une certaine sagesse qui lui permet de se réconcilier avec la vie, c’est-à-dire avec la mort qui est une conséquence de la vie animalisée.
(BdM)De quoi est fait le tunnel que l’âme emprunte à sa sortie du corps matériel ?
(R)Le tunnel de la mort est une structure astrale faite de la même énergie fondamentale dont sont constitués les mondes parallèles.
Son énergie est aspirante et se meut selon un mouvement centripète vers le centre de l’univers local.
Lorsque l’âme est aspirée dans le tunnel, elle retourne vers des dimensions qui regorgent d’énergie vitale. Suite à la mort du corps matériel, elle explose de vie et se sent libérée. Le tunnel est sa porte d’entrée dans des mondes sans limites.
La construction du tunnel est, dans son ensemble, la même pour toutes les âmes. Ce qui différencie l’expérience, c’est la vibration avec laquelle elles se déplacent dans le tunnel. Une âme évoluée n’a aucun problème à l’entrée dans l’astral car son axe de révolution est alignée avec le plan, de sorte qu’elle ne subit pas de déflexion latérale.
Ce mouvement est à l’origine du sentiment d’isolement que ressentent un grand nombre de désincarnés de l’autre côté de la vie. Une âme qui a une mauvaise vibration à la mort ou une aura qui laisse à désirer, subira d’étranges contorsions dans le tunnel car ce dernier se rétrécira à un point où elle se sentira perdue, remplie de crainte et, inévitablement, projetée sur un plan douloureux.
Le tunnel reproduit toutes les mémoires de l’âme.
Lorsqu’elle sort du corps matériel, la rupture du cordon d’argent crée une tension dans le corps astral et la contraction qui s’ensuit lui permet de prendre conscience d’elle-même. Elle sort alors du sommeil de la mort qui, temporairement, alourdit toute âme en processus de désincarnation.
Le tunnel est une voie d’accès aux mondes parallèles, mais il n’est pas la seule. Beaucoup d’âmes n’empruntent pas le tunnel à la sortie du corps matériel car elles n’ont pas suffisamment de lumière pour être reçues de l’autre côté.
Dans ce cas, elles errent sur des plans près de la Terre et créent un phénomène particulier de matérialisation. Ces âmes solitaires croient qu’elles sont encore vivantes, car elles n’ont pas de lumière pour leur indiquer qu’elles sont effectivement sur un autre plan.
De telles aberrations peuvent durer un certain temps. Éventuellement, elles seront appelées sur le plan astral et continueront leur évolution.
Le tunnel est une voie d’accès au plan principal de l’astral où la sélection et le partage se font. Les âmes à la sortie du tunnel sont dirigées vers un plan qui les accueille et leur permet de s’en remettre à des guides spirituels qui leur indiqueront leur nouveau rôle dans une vie essentiellement différente de celle qu’elles ont connue sur la Terre.
La sélection leur permettra de se situer précisément par rapport à leurs vibrations. Tout est justifié selon la vibration de l’âme enregistrée dans son aura. Le partage permettra aux âmes avancées de se voir confier des tâches à la hauteur de leur expérience.
Dans la mort, les guides spirituels sont l’équivalent des parents biologiques qui vous donnent la vie sur le plan matériel. Puisque vous êtres conscients dans la mort, les guides peuvent vous aider rapidement à vous situer pour commencer votre nouvelle vie.
Dialogue avec l'invisible P 137