La conscience critique dans l’étude



DM 120 La conscience critique dans l’étude

BDM: "Quand c'est très développé la conscience critique ça équivaut un petit peu à une capacité voyante, c'est comme si tu es capable d'aller chercher dans une vibration, de la voyance.

 

C'est quasiment un phénomène de radar, tu ne peux jamais être magnétisé quand tu as une conscience critique.

 

La fonction d'ailleurs, le but, l'éventuel but de la conscience critique, c'est que l'homme ne soit plus “magnétisable”. C'est comme si sa conscience critique va être tellement avancée à un certain moment donné, qu'il va pouvoir tout mesurer par vibration.

 

Cette conscience critique-là, pour la développer, il faut être de plus en plus à l'écoute de soi, toujours à l'écoute de soi.Aussitôt qu'on perd l'écoute de soi, on perd l'accès à cette conscience critique-là et quand je parle de l'écoute de soi, je ne parle pas dans un sens spirituel du terme...

 

(...) L'homme ne peut pas se permettre d'être “magnétisé” par l'homme, il faut qu'il soit dans son identité et c'est ça que la conscience critique donne.

 

Et ce n'est pas facile de développer la conscience critique parce qu'il y a tellement de choses, il y a tellement d'informations, de désinformations sur la terre à tous les niveaux, dans les systèmes matériels profanes, comme dans les systèmes spirituels ou philosophiques, ou métaphysiques, ou occultes, que ça devient difficile pour l'homme d'avoir ou d'exercer son droit, son droit très très unique de regarder dans la chose et de l'évaluer par rapport à lui.

 

L'homme n'a pas à regarder la chose et aller se l'accaparer, il faut qu'il regarde dedans. Il faut que ça fasse son affaire, sans ça il est “magnétisé” par la chose, c'est ça le problème de l'homme. Ça fait partie de la pollution du mental.

 

Dans la conscience critique "psychologique" en réalité, il n'y a rien de valable parce qu'il n'y a rien de réel ! C'est tout de la désinformation ! Parce que c'est basé sur une perception qui est toujours en "fonction de l'ego". Ce n'est pas en "fonction d'une lumière", c'est en fonction de l'ego, "c'est de la territorialité".

 

L'instinct est totalement en “collusion” (connivence) avec la personnalité, alors que l'intelligence intégrale, la critique absolue, la conscience critique ne traite pas dans ces registres-là. Ça ne traite pas avec les registres de l'instinct. C'est "l'intelligence intégrale"! De la science, c'est l'application de cette conscience-là.

 

Puis la science c'est de la confrontation entre ce que tu veux, ce que tu as besoin et ce qui est là autour, c'est ça de la science.

 

Le scientiste dans le labo, il prend ça, le matériel autour, puis il l'amène par "méthodologie", à une configuration "qui se répète suffisamment pour que ça soit établi comme principe ou loi". Ça, c'est de la science de la conscience !"