La mutation du patrimoine génétique

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L’homme tel qu'il a été créé sur les plans mentaux, tel qu'il a été créé par les esprits de la forme, n’est pas un être involutif.  

 

L'homme est un être créateur, c'est un être qui fait partie de la hiérarchie, c’est un être qui a tous les pouvoirs, c'est un être qui est absolument sans aucune substance, il est totalement essence.  

 

À partir du moment où l'âme est descendu dans le corps matériel, ce que nous appelons l'homme est devenu substantiel, c'est-à-dire que si nous regardons la différence d'un point de vue créatif, entre la substance et l’essence:  la substance revient toujours à la formulation graduelle de l'expérience en relation avec l’approximation des désirs sur le plan animal.  la substance réfléchit toujours les désirs de l’âme.  

 

L’essence n’est que lumière (esprit), elle n'est aucunement reliée à l'expérience ;  elle est totalement créative, elle est instantanée, et elle peut, prendre le contrôle de la matière, dans la mesure où cette matière ne se laisse pas embobiner,ne se laisse pas englober par les dimensions inférieures que cet esprit n'a pas eu encore le temps de pénétrer pour des raisons de « timing »  cosmiques, pour des raisons de temporalité cosmique. 

 

sur le plan cosmique l’âme est venue dans la matière avant l'esprit.  l’âme, c’est de la mémoire ;  l’âme, c’est une substance qui fait partie de la mémoire expérientielle de l'homme, mais aussi sur le plan cosmique, l’âme fait partie des déchets universels des Êtres de lumière qui n’ont pas réussi, au cours des éons de la création, à se restabiliser dans les champs magnétiques créés pas la lumière pour le maintien universel des forces qui constituent ce que nous appelons l’univers créé.  

 

l'âme est un déchet, mais c’est un déchet qui a été recyclé dans le corps matériel des hommes en évolution, ce déchet est devenu de plus en plus raffiné, de plus en plus évolué, il est devenu à la fin du XXesiècle à la fin du cycle involutif, ce que nous appelons l'Homme: une partie de lumière: de savoir qui n'est pas intégré dans la conscience mémorielle de l’homme, et une partie de ténèbres: de conceptions, de connaissances, d'expériences, de réflexions psychologiques, de cette dimension de l'homme, que nous appelons le mental inférieur qui constitue, pour lui la catégorie essentiellement subjective de son moi.

 

il y a une séparation à faire entre la substance et l’essence ;  

pendant l'involution la substance a été développée parce que l'essence ne pouvait pas pénétrer dans des corps, parce que les corps n'étaient pas suffisamment évolués pour la recevoir. Si l’essence avait pénétré, s'était intégré dans les corps dans ce temps-là, l'homme ne se serait jamais découvert en tant qu’être conscient tel qu’il est aujourd’hui.  le phénomène de la descente de l’âme, avant le phénomène de la fusion de l'esprit, fut nécessaire.  

 

il y a eu une raison pour laquelle ce phénomène fut nécessaire ;  c'est que le monde de l'esprit, c'est-à-dire le monde de la forme, ou le monde du feu, le monde, qui dans un sens ultimement cosmique, définit la droiture de la lumière en fonction de la  « purgature »  universelle des mondes, et qui a le pouvoir instantané de faire éclater toute forme, ou de l'instruire d'une certaine évolution, ce qui devient pour nous, sur le plan matériel, une expérience.  

 

Ce monde n'a pas voulu descendre dans la matière pour rencontrer la matière en fusion, parce que la matière était trop animalisée.  L'animalité de la matière du corps matériel  va jusque dans les types extrêmement anciens de l'homme. Elle a été amenée à un autre niveau d'évolution en contact avec des Élohims, qui représentent des êtres très avancés dans la science génétique. Ils sont venus en contact avec l’humanité il y a des millénaires, pour donner à l'homme une nouvelle vibration, c’est-à-dire pour lui donner une capacité égoïque d'entreprendre le voyage qui lui permettrait de se scinder complètement de la race animale qui avait été le produit naturel d'une évolution biologique.  Ce fut nécessaire à un certain point qu’il y eût intervention pour créer une mutation.  

 

Donc ces êtres-là sont venus. ce que nous appelons ou ce que nous retrouvons dans la Bible, ce n'est que le reflet d'une rencontre entre des mondes humains avancés et l'homme. dans le cosmos universel, le concept des Dieux ou de ces êtres supérieurs à l'homme n'existe pas, parce que la hiérarchisation du pouvoir ne peut pas se manifester entre une race supérieure et une race inférieure, ça va contre les lois cosmiques de l'évolution. 

 

Nous ne pouvons pas amener une culture avancée en contact avec une culture inférieure sans créer un désarroi total sur le plan évolutif de cette culture inférieure.  C’est la même chose entre la planète Terre et d'autres planètes, mais les hommes ont fait de ces êtres-là des Dieux, c’est-à-dire des êtres, ou des entités, qui avaient le pouvoir de création.  c'est une erreur, parce que les êtres qui font partie des sciences extrêmement avancées dans l'universel ont des facultés, ont des sciences extrêmement avancées qui pour l’homme ancien devenaient des pouvoirs créatifs, non pas dans le sens de l'esprit, mais simplement des pouvoirs de technologies avancées en relation d'infériorité avec des êtres qui étaient encore à l'âge de la pierre.

 

Il y a eu un accident de parcours, mais cet accident de parcours n’était pas sur le plan matériel.  Cet accident de parcours, il est très occulte. 

Une raison pour laquelle le lien universel, a été rompu, a été coupé avec l'homme, c'était pour permettre que l'homme puisse en arriver à une sorte d'autonomie égoïque, sinon l’homme auparavant serait demeuré simplement une projection dans la matière de l'esprit, donc il n'y aurait pas eu ce que nous appelons une humanité.  le terme humanité vue d'un point de vue cosmique veut dire le rassemblement de l'énergie dans la forme.  Dans tous les mondes, il existe des humanités, il y a au-delà d'un million de civilisations dans l’univers, et les humanités représentent finalement des projections de l'esprit dans la matière, autrement dit des finalités.  Et l’humanité sur le plan matériel, l'homme sur le plan matériel, représente une finalité.  

 

Si l'homme était demeuré un être en contact avec les liens universels, il ne serait jamais devenu une humanité, parce que le lien universel est trop puissant ;  le lien universel est un rayon de feu, est un rayon cosmique, qui passe directement à travers les couches, à travers les principes de l'homme et assujettit totalement la forme.  

 

pour que l'homme en arrive à dépasser le pouvoir magnétisant, le pouvoir de contrainte que crée cette fusion de l'énergie avec le matériel, il fallut que l'homme en arrive à pouvoir comprendre les lois du mensonge, les lois de la souffrance.  

 

en reprenant contact avec lui-même, et en reconnaissant les lois du mensonge cosmique concernant toute l'involution, et aussi en reconnaissant les lois de la souffrance à cause de son niveau accéléré de conscience, l'homme pu finalement reprendre, ou pourra finalement reprendre le contrôle de cette énergie, et intégrer cette énergie dans son être afin que la substance même de son mental, de son émotif, de son vital, et éventuellement de son corps matériel, puisse être en résonance parfaite avec cette énergie afin que l'homme éventuellement puisse avoir accès à d'autres dimensions, pour qu'il puisse finalement connaître l’infinité de sa conscience, pour qu'il puisse finalement cesser d’être un être assujetti à une conception divine de la création, pour en arriver éventuellement à une compréhension parfaitement intégrale des lois de l'énergie, qui sont des lois extrêmement complexes, extrêmement simples en même temps, mais qui donnent, à la vitalité du mental, une capacité infinie de tout comprendre ce qui existe dans le cosmos, et de ne plus être assujetti psychologiquement au principe des mystères qui fut pendant l'involution la calotte ou le chapeau posé sur la tête de l'homme, qui fit de lui un être absolument ignorant et absolument incapable de saisir les dimensions utilement infinies et absolues de sa réalité, ce qui a donné naissance au pouvoir à tous les niveaux, autant religieux, spirituel, occulte, que temporel.  

 

ce pouvoir fut nécessaire pour l'exercice civilisateur de l'homme, pour le développement de certains paramètres dans sa conscience qui ont amené à la configuration des tribus primitives jusqu'aux civilisations les plus complexes, telles que ce que nous avons aujourd'hui.  

 

ce n'est pas fini, la descente de l'énergie dans l'homme, qui est commencée depuis 1969, fera un travail de transmutation profonde jusqu'à ce qu’un certain niveau de conscience soit développé sur le plan matériel, et une fois que ce niveau de conscience sera développé, à ce moment-là il y aura un déversement de cette énergie dans certains hommes sur le plan matériel dans différents pays, et ceci donnera naissance à une nouvelle race racine, c'est-à-dire à un nouveau type d'homme, que j'appelle l'homme nouveau, pour lui donnér un nom, un type d'homme qui ne sera plus assujetti à l'involution, mais qui comprendra pourquoi l’involution, qui comprendra pourquoi l’aspect expérientiel difficile et ténébreux de l'âme à travers le corps matériel, qui a créé la conscience égoïque que nous connaissons, conscience réflective, subjectivité, ainsi de suite, pessimisme intégral, si vous voulez, pour donner finalement naissance à une claire vision de la réalité, c’est-à-dire à une capacité mentale, non pas d'interroger le réel, mais une capacité mentale d'établir le réel comme étant ce qu'il est, parce que l'homme n'aura plus d’émotion dans son mental, c’est-à-dire qu’il ne se servira plus de sa mémoire catégorique involutive, historique, pour dompter finalement cette énergie qui…ne se laisse dompter que dans la mesure où l’homme est capable de supporter sur ses propres épaules ce qu’il sait, sans avoir aucune référence, aucune, à la qualité essentiellement expérimentale de la connaissance humaine.

 

Si on me demandait, aujourd'hui en tant que personne, ce que je considère comme l'aspect le plus important de la prochaine évolution de la race humaine, c'est que pour la première fois au cours de l’évolution, ou avec l'évolution, l'homme sera capable de dompter son esprit, autrement dit, au lieu d'être dompté par son esprit et galvanisé dans une mémoire, que nous appelons l'âme, pour subir pendant des siècles et des siècles une sorte d'expérience absolument embarrassante à sa « nobilité »  réelle, l’homme pourra finalement dompter l'esprit. il lui faudra être capable  de dépasser sa condition humaine involutive en ce qui concerne la programmation psychologique de son moi en relation avec le besoin psychologique de savoir et de comprendre ;  il sera obligé d'établir au lieu de questionner, ou d'interpréter, ou de faire le philosophe, face à la vie.

 

avec l’évolution future, avec l'homme intégral, la philosophie sera absolument passée à la guillotine, parce que la philosophie est un jeu de l'esprit à travers l’astralité du mental involutif.  

 

La philosophie, nous la voyons comme étant finalement un mouvement de l'esprit à travers l’aspect astral du mental, qui fait de l'homme un être qui joue avec des mots sans pouvoir créer par la parole l'aspect finalitaire de sa domination de la forme, qui lui permettra éventuellement de dominer la forme à un tel point, qu'il pourra faire descendre l’énergie sur le plan matériel dans cette forme, pour faire manifester sur le plan matériel les différents éthers, qui font partie des sous plans de la matière, et qui composent sa réalité, autant que la réalité des autres royaumes. 

 

ce n'est pas surprenant, que l'homme à la fin du XXesiècle soit, malgré toute sa technique, toute sa technologie, toute sa capacité souvent très aberrante de disséquer les mots, et d'en faire réellement des monuments à la gloire du mental inférieur tel que Sartre, ce sont des hommes qui ne sont pas capables finalement de s'instruire d’eux-mêmes et d'instruire les hommes en fonction de ce que les hommes sont, c’est-à-dire, des Êtres qui font partie d'une éternité qu’ils ne connaissent pas, mais d’une immortalité qu’ils connaîtront, mais aussi d'une capacité mentale, qui en définitive et absolue dans la mesure où eux en tant qu’homme ne se laissent plus distraire par le chant des sirènes, c'est-à-dire par la mémoire historique, par les mémoires de l'involution, ou par les dictées nébuleuses d’une Bible qui raconte le fait de la chute, c'est-à-dire l'apparence de la dualité, à des masses historiques qui n'ont jamais été capables de comprendre réellement le pourquoi et la raison derrière le mystère de l'homme.

 

Le phénomène des glaives et des Élohims, c’est la même chose ;  posant les glaives à la porte du paradis veut dire qu’une fois que l'homme entre dans une expérience, qu'elle soit involutive ou qu'elle soit évolutive, il ne peut plus revenir en arrière, et on peut même assurer qu’avec l’évolution qui vient, avec la descente sur le plan matériel de la pensée supramentale, avec l’ouverture des champs éthériques sur la terre à la fin du cycle, les hommes qui entreront dans cette dimension de conscience ou d'esprit ne pourront plus rentrer en arrière ;  donc il y aura encore le même phénomène du glaive qui est posé, parce que le glaive représentera simplement la lumière qu'ils auront vue.  

 

À partir du moment où les hommes auront vu ou verront cette lumière, ils ne pourront plus revenir dans la catégorie de l'humanité involutive ;  donc ils feront partie d'une nouvelle race, mais ils pourront se remélanger aux hommes pour s'affecter à des travaux d'une sorte ou d’une autre.

 

L'humanité devait passer à l'âge adulte, parce que l'humanité, pour expliquer  je vais aller contre un concept qui est mondial, et je vais aller aussi contre un concept qui est, dans les textes les plus ésotériques de notre planète, considéré aussi comme universel.  Je vais prendre le concept de l'expérience.  On dit que l'expérience, c'est la chose la plus fondamentale dans le cosmos, et ceci ce n'est pas réel.  

 

La seule raison pour laquelle l’expérience est fondamentale dans le cosmos, c’est parce que l'homme n’est pas égal à lui-même, donc il est obligé pour entrevoir sa relation avec le matériel sur le plan où il est, il est obligé de toujours cogner à la porte de l'expérience, c'est-à-dire qu'il est obligé constamment de vivre une sorte de souffrance.  

le mot expérience est un mot qui signifie souffrance, et tant que l'homme sera obligé de vivre d'expérience, il sera obligé de souffrir, parce que dans l'expérience on souffre, parce que l'expérience n’est jamais égale à soi-même.  

 

N'étant pas égal à soi-même, nous devenons de plus en plus une potentialité de nous-mêmes au cours des années, au cours des âges, au fur et à mesure que nous avons de plus en plus d’expérience.  nous finissons à 50, 60, 70 ans, comme des êtres absolument brisés par l'expérience.  

 

l'expérience, fait partie de l’assujettissement de l'homme aux pouvoirs astraux de sa conscience à travers un esprit qui est incapable, lui en tant qu’homme, de contrôler, de maîtriser.  expérience veut dire, être incapable, sur le plan planétaire ou même sur le plan cosmique invisible, de contrôler l'énergie du feu cosmique qui fait partie intégrale de l'organisation systémique à la mesure de notre propre organisation interne microcosmique. tant que l'homme ne sera pas capable sur le plan mental, vital, astral et matériel, de contrôler l'énergie qui fait partie de son feu, de son esprit, il sera obligé de vivre l'expérience, parce qu'il sera obligé d’entrer dans une nouvelle vibration, parce qu'à partir du moment ou chaque fois que l'homme vit une expérience, son taux vibratoire change.  

 

Même s'il est inconscient, son taux vibratoire change ; comme son taux vibratoire change, surtout s'il est conscient, l'expérience devient de plus en plus difficile à supporter.  

 

il y aura au-delà de l’expérience, dans le domaine de la conversion de l'expérience, l'homme découvrira qu’il y a la création.  

à partir du moment où l'homme sera capable de dépasser l'expérience, il sera dans son pouvoir créateur, c'est-à-dire qu’au lieu de vivre en relation avec les différentes matérialités, que ce soit matériel physique ou d'autres matérialités d'une façon expérientielle, il vivra catégoriquement et de façon absolue en fonction de son pouvoir créateur, c'est-à-dire en fonction de sa capacité de faire descendre cette énergie, de l'intégrer, et de l’accoler,de l’infuser dans la matérialité dont il aura besoin pour se construire une nouvelle civilisation, que ce soit sur le plan matériel, sur le plan éthérique, ou quoi que ce soit.  

 

C'est absolument anti lumière, ce que nous appelons l'expérience.  L'expérience fait partie des possibilités « indignites »  à la réalisation systémique des forces en descente vers le matériel.  À partir du moment où les forces sont en ascension vers l'origine de leur propre éternité, les forces n'ont plus besoin d'expérience parce que déjà elles sont parfaites, parce que déjà elles sont parfaites. Expérience veut dire imperfection, expérience veut dire développement d’un potentiel.  Perfection veut dire alliance intense, absolue, avec ce qui est, ce qui existe, ce qui est en dehors du temps, en dehors de l'espace, et qui convient parfaitement à différents temps et à différents espaces.  

 

Ça, c'est la création, et l'homme avec l'évolution, sa conscience sera parfaitement en harmonie vibratoire avec ce qu'il appelle l'expérience ;  autrement dit, il ne vivra pas une expérience, il vivra simplement une situation de vie qui sera le produit du mouvement naturel de son esprit à travers la forme, et il travaillera en relation avec ce mouvement d’esprit à travers la forme d'une façon parfaite, de sorte qu'il n'y aura pas d'expérience, parce qu’il n'y aura pas de perte d'énergie. L'expérience chez l'homme, elle existe parce qu’il y a une perte d'énergie.  

 

L'homme au lieu de travailler, il œuvrera.  Quand on œuvre, on ne travaille pas. Œuvrer veut dire : rendre dans le monde, l'énergie à travers la forme, de façon parfaite. l'énergie supporte la forme, la forme crée sa propre dynamique. L'homme n'a pas à subir la « mécanicité »  de la forme, donc il n'a pas à travailler.  

 

Travailler, ça fait partie de l'involution ;  c’est nécessaire parce que ça fait partie des conditions historiques.  

 

Travailler, c'est la condamnation de l'homme à épouser une matière qu'il ne contient pas dans son esprit.  

 

Travailler, c'est une question d’impuissance.  

 

Travailler, c'est l'expression catégorique de l’affinité de l'homme pour l'astralité de sa mémoire, c'est-à-dire pour les forces de l’âme.  

 

Dans le travail, il y a de l'invention, il y a de la dynamique, mais il n'y a pas de création, parce que le travail est toujours basé sous les lois de la nécessité. Regardez comment on se ment ; on dit souvent dans les textes aujourd’hui dans les écoles, on dit : l’invention est la mère de la nécessité.  Tout le monde a ça à la bouche, tout le monde a écouté ces paroles fabuleuses.  

 

L'homme de l’involution arrive à son terme, l'homme futur ou chez l'homme futur, on ne pourra pas dire l'invention est la mère de la nécessité, on dira que la création est l'expression du pouvoir.  L'homme créera des conditions de vie en fonction des besoins de sa société, non pas par le processus inventif, mais par le processus créateur, c'est-à-dire que l'homme n'aura pas à utiliser des formes qui auront été amenées par raffinement expérientiel à une certaine définition.  

 

L'homme établira, instituera, donnera, instantanément à la forme, sa projection matérielle, et ainsi l’homme pourra transmuter la matière, d'une façon mentale, à partir du rayon qui fait partie de son organisation psychique sur les plans éthériques, pour éventuellement donner à la forme, dans la matière, un pouvoir qui sera totalement magnétique, de sorte que dans l'avenir les systèmes de transports par exemple, les systèmes de communications, 

 

il n’y aura plus d’électromagnétisme dans l'atmosphère de la terre, parce l'électromagnétisme, ce qui est électricité, représente une forme astralisée de ce que nous pouvons appeler le feu cosmique.  

 

Pour qu’il y ait transport d'énergie à travers un médium, nous n'avons pas besoin de l’aspect électrique de l’énergie, nous pouvons utiliser simplement l'aspect magnétique de l'énergie qui est un aspect purement universel, absolument universel.  

 

Mais, aujourd'hui nous utilisons les aspects électriques de l'énergie, et nous utilisons tellement ces aspects électriques de l’énergie que nous sommes incapables de concevoir un modèle de propulsion ou un modèle d'énergie qui n'est pas électrifié. 

 

Nous sommes en train, sur le plan matériel, d’ioniser l'atmosphère de notre planète, et nous sommes en train, dans un même temps, de créer dans la couche atmosphérique des débalancements éthériques très graves, dont nous subirons les contres coups vers l’an 2040.

 

Nous n'avons pas, en tant qu'homme aujourd’hui, une science qui convient à l’éthéricité de notre mental ;  nous avons une science qui convient parfaitement à la sensorialité de notre esprit, donc à la capacité mentale subjective d'analyser, c'est-à-dire de nous compromettre face à la matière, afin de nous donner les bénéfices de la matière.  demain ce sera différent ; 

 

l'homme nouveau sera totalement différent, totalement différent ;  il ne pourra pas penser comme il pense aujourd’hui ;  il sera en parfaite harmonie avec les lois de la nature, c’est-à-dire qu’il saura parfaitement comment fonctionne un système mécanique sur le plan matériel en relation des lois de la conséquence.  

Aujourd'hui nous avons des industries, nous avons du pétrochimique, nous avons toutes sortes de choses dans le monde qui sont en train de polluer notre planète, et il viendra un moment où nous ne serons plus capables d'arrêter ceci.  Donc, à ce moment-là, nous aurons besoin d'une autre technologie pour renverser le processus d'ionisation de l’atmosphère.

 

Nous ne sommes pas Hommes dans le sens intégral du terme, autrement dit nous ne sommes pas arrivés à la définition intégrale de notre Être ;  

nous sommes en voie de devenir des Hommes ;  nous sommes en voie de devenir des Êtres humains, mais nous ne sommes pas encore des Hommes dans un sens intégral ;  nous avons encore une partie animale, une partie intelligente en voie d'évolution.  

 

L'homme sera Homme lorsqu'il aura maîtrisé l'énergie en lui, afin de donner à son animalité la proximité psychique dont elle a besoin, afin de ne pas recourir à l'émotion pour vibrer émotivement.  

 

Nous serons Hommes, lorsque nous aurons la capacité mentale de savoir et de comprendre instantanément la relation entre l’invisible et le matériel ;  

 

nous serons Hommes, lorsque nous aurons la capacité non plus de penser subjectivement, mais de vivre une pensée créative, c’est- à-dire une communication télépathique mentale avec les plans universels ;  

nous serons Hommes, lorsque nous ne serons plus capables de souffrir du phénomène de la question et de la réponse ;  

 

autrement dit nous serons Hommes lorsque nous aurons perdu le besoin philosophique de nous interroger afin d'avoir une idée de ce que nous sommes ;  

 

à ce moment-là nous commencerons à être Hommes, c'est-à-dire que nous commencerons à être complets, c'est-à-dire que nous commencerons finalement à pouvoir respirer.  

 

Mais nous respirerons d'une autre façon, nous respirerons une énergie dans des centres nouvellement ouverts, qui nous donneront une perméabilité ou accès à la perméabilité de nos sens, ce qui nous permettra de voir dans l’invisible, d’entrer en contact avec d'autres personnes, de comprendre, si vous vouliez, l’aspect rudimentaire de l'involution, d’aider à cet aspect rudimentaire, d'aider les gouvernements, d’aider des hommes, d’aider la science.  

 

Mais les Hommes, ces Hommes nouveaux, qui font partie d’une nouvelle mutation, n'auront plus à se chercher, ils n'auront plus à souffrir, si vous voulez, cette recherche spirituelle qui a été la plaie émotive de l’involution jusqu'à aujourd’hui.

 

 

FP - Si nous sommes le résultat d'une déviation de notre programmation génétique, est-ce qu'on peut contribuer à une reprogrammation génétique ?

BdM - Nous ne pouvons pas contribuer à rien, parce que nous sommes déjà des contribuables à l’infinité.  

 

sur le plan de l'infinité, de l’Être cosmique de l’homme, l'aspect ultimement cosmique de ce que nous sommes, en relation avec notre mortalité, nous sommes une infinité ;  l'Homme est déjà une totalité en lui-même, l'Homme est déjà un absolu ; l'Homme n’a rien à reprogrammer, parce que à partir du moment où il entrera en syntonisation avec ce qu’il est cosmiquement parlant, sa nouvelle évolution sera le produit de l’affinité de l'énergie avec la matière, et ceci ne sera pas une programmation, ceci sera la révélation de l'Homme à l’homme.