Le retour à la nature & Relation entre l'homme et la nature


Le retour à la nature & Relation entre l'homme et la nature

 

Marcher Autrement, dans un voyage vers la source de nos authenticités, est une expérience unique et personnelle pour se re-connaître, aller au-delà ses limitations. C'est avancer sans retour vers le passé, observer, goûter l'instant présent, sentir ce qui vient à nous : vibrations du corps, amplitude de l'inspir et de l'expir, mouvements des bras et des pieds, flux et reflux des "pensées", des "idées"... C'est plonger dans les profondeurs de soi-même pour "interagir" avec l’énergie du réel en soi. C'est apprivoiser les éléments de la nature, en toutes saisons, pour transmuter les énergies denses de nos souffrances et réaliser une transformation évolutive de son ego. C'est acquérir une meilleure vision des aspects opaques de sa vie pour prendre des décisions intelligentes, pour rompre avec des engrenages mortifères et se libérer de ses prisons émotionnelles, mémorielles, ancestrales.

 

La matière subtile des montagnes (éther), composée de la lumière de l'énergie de son esprit, transporte une force et un courant électromagnétique qui envoie une charge électrique dans nos corps pour les dépolluer et une force répulsive, autour de ces corps, pour maintenir leur stabilité.

 

Dans le processus évolutif de l'ego les changements du taux vibratoire de ses corps (physique et subtils) conduisent à modifier volontairement, ou non, les habitudes et comportements à bien des niveaux (alimentaires, corporel, nocturnes, diurnes etc…) Ceci entraîne une sensibilité croissante au moindre mouvement subtil dans les plans éthériques de la matière. Toute matière ayant une vibration éthérique est composée de la "lumière" de l'énergie de "l'esprit de cette matière", dans le cas présent on parle de l'esprit des montagnes, de l'esprit la nature ou tout autre matière "vivante".
Cette lumière transporte une force dans un courant électromagnétique qui envoie une charge polarisée dans nos corps:
- la force nettoyante de dépollution, en tant que charge électrique polarisée, agit un peu comme un détergeant de notre corps astral qui impacte également le corps émotionnel et mental pour le décaper des scories laissées en arrière-plan des expériences qui alourdissent ces corps.
- la force répulsive, l'autre polarité, charge magnétique ayant pour fonction d'émulsionner ces corps d'une énergie protectrice contre de nouvelles agressions extérieures, donc de stabiliser la "propreté" de ces corps… Un peu comme une voiture qui passerait au lavage automatique avec un programme complet de nettoyage et de polisch protecteur final…

Il est bien évident que notre esprit nous a à l'usure par ses multiples tests et re-tests… mais plus on use et abuse de la nature plus le polisch devient réfractaires aux agressions extérieures, le voile de la peau s'épaissit comme un imperméabilisant virtuel…

La lumière de l'énergie de l'esprit est une force qui a un but propre: celle de marteler l'ego pour l'amener à fusionner avec lui pour la création du double éthérique. La lumière de l'énergie de la montagne ou de la nature, dans son éther, est composée de deux forces polarisées pour ses propres besoins en tant qu'organisme vivant autonome et indépendant. Elles se revivifie et se protège à la fois par sa propre puissance. De nombreux documentaires démontrent comment la nature renait de ses cendres après le passage dévastateur de l'humain…

L'humain qui côtoie assidument la nature bénéficie de la lumière de cette énergie et son propre esprit également. L'esprit humain est avide de cette énergie qui multiplie sa puissance à marteler l'ego aussi dur à cuire qu'inconscient et mal dégrossit… au final tout cela sert à la matérialisation progressive du double éthérique ou de l'ego qui devient lumineux…

Ces deux courants d’énergies sont ressentis distinctement au fur à mesure que le corps s'élève vibrations. L’énergie éthérique mentale qui passe par le canal a des effets directs sur la conscientisation de l'ego alors que l’énergie éthérique tellurique de la nature rassérénère les corps avec un impact chimique sur l'apaisement du mental.

- Réponse à 3
Ces deux courants d’énergies mentale et éthérique amènent simultanément l'ego à la conscientisation de lui-même par la résonnance des vibrations de plus en plus fortes de ses corps physiques et subtils comme si l'esprit en habitait le moindre espace libre!

"C’est une véritable entrevue !"
En fait on ne peut être d'accord et comprendre ce que veut dire Bernard qu'après avoir fait l'expérience sur le terrain et dans tout son être de cette nature… L'énergie de la montagne et de la nature vivent alors en nous, cette énergie de vie amène à consommer davantage, une véritable addiction, pour stocker ce précieux carburant puissant et galvanisant utilisable et recyclable à l'infini... à condition de déspiritualiser et d'élever cette énergie jusqu'à notre conscience afin qu'elle dépollue réellement notre mental inférieur pour maintenir une stabilité sur la durée.

 

"la nature est un éventail d'énergies inhérentes à la structure interne de la matérialité".

Je réitère on ne peut être d'accord et comprendre ce que veut dire Bernard qu'après avoir fait l'expérience sur le terrain et dans tout son être de cette nature. L’énergie de la nature nous relie à la pureté de son éther qui est en relation avec notre propre énergie de vie, celle que nous nous faisons siphonner par les plans vampiriques "en haut et en bas"…
L'énergie de la nature est la pompe à carburant de vie pour un ego désorienté par la soudaineté de son processus évolutif ça lui amène "une sorte d'équilibre sur tous les plans de son être". L’ego en voie de conscientisation se syntonise parfaitement avec cette nature qui le régénère de ses forces vitales, tout en devenant un "co-adjudeur" lorsque la nature mensongère de la pensée s'est révélée à lui… Il a d'abord fallu que l'information parviennent jusqu'à lui… Un long processus avant le processus…
Pratiquer une activité en lien avec la nature favorise une bonne santé en dénouant les tensions, en relaxant, en se distanciant, en réveillant ses sens, … La pratiquer en mode "déconnecté" et/ou en "silence" est bénéfique, la conscience se vivant plus qu'elle ne se parle, sans dogme religieux ni culte d'un silence mystique. Il s'agit bien sûr d'une invitation à "mettre son silencieux" pour évacuer le poids des soucis, des contraintes journalières et écouter la nature qui fait taire les verbiages sans rapport avec elle. C'est également une opportunité d'apprendre à contenir ses projections verbales, véritable "poison émotionnel" pour autrui et une occasion d'adopter des comportements respectueux et écologiques.
Pratiquer la nature c'est surtout l’occasion de trouver ou re-trouver son propre équilibre grâce à l’énergie des mouvements avec ses balancements à deux temps qui équilibrent l’organisme tout entier, synchronise la structure du corps et facilite l'accroissement de tous nos systèmes neurobiologiques et psychomoteurs. C'est aussi ne souhaiter rien d'autre que d'être "ici et maintenant" afin de s'offrir un moment de "break".
Le cadeau de la nature est de réaliser qu'à travers elle, sa grandeur et sa beauté en toutes saison, elle est de la même énergie parfaite que celle qui réside en nous. Cette découverte, riche et surprenante est un véritable défi pour un ego en évolution. Ce ressenti est toujours plus flagrant en hiver, sous la neige, quand le moral est en hibernation et que tout alentour n'est que blancheur et silence...

 

Un peu comme dit précédemment, l'énergie de la nature est identique à l'énergie parfaite qui réside en nous, tant qu'elle n'est pas dévoyée par les plans astraux. C'est un véritable défi pour un ego en évolution, surtout en hiver sous la neige, quand tout alentour n'est que blancheur et silence et que, par effet miroir, on entraperçoit ce qui n'a jamais cessé d'exister en nous peu importe le nom qu'on lui donne…
Il s'agit bien de cette "mise en relation de l’énergie de la nature et de notre énergie interne" dont parle Bernard, deux mondes qui se rencontrent en dehors de notre ego mais sous les deux yeux témoins ébahis de notre ego lorsque cela se produit la première fois... Bon les fois suivantes aussi, on s'y adapte ensuite!!!... Ce peut être en effet une "observation des énergies matérielles par le biais du silence mental et de l’attention mentale" dont tu parles.
Cette énergie de la nature en se combinant à celle de nos corps matériel et subtils, améliore et rééquilibre notre taux vibratoire plus en adéquation avec celui de l’éther de la terre. J'irai plus loin en ajoutant que ce mélange des énergies de la nature s'accroit exponentiellement avec la fusion dans la matière de l'esprit, de l'âme et de l'ego de l’homme... Il s'agirait plutôt de plusieurs énergies subtiles, inhérentes à la matérialité humaine, sauf que celle de la nature est déjà en nous depuis le début de notre parcours, mais que cette nature nous accompagne depuis l'ère primitive, époque où l'on savait mieux vivre avec elle...
Dans leurs distinctions ces énergies n'ont cessé de se mutualiser pour un contact primordial lors de l'entrée programmée en processus de fusion. A ce moment-là, la conscience de l'éther de la nature et de son impact sur nous résonne dans l’énergie de nos cellules, ce qui accroit leurs taux vibratoires et celui de notre conscience egoïque. Nous fréquentons maintenant la nature par un besoin viscéral personnel et non plus par ego dans la recherche d'une image de soi "moderne" pour autrui... la boucle est bouclée dans ton résumé final, comme un feu d'artifice qui mettra fin à l’expérience astrale...

 

En fait il n'y a pas à se forcer car le déclic vient un jour, sans savoir pourquoi…Pour avoir côtoyé les plus hauts sommets d'Europe j'avoue que c'est dans les Hautes Pyrénées que ce déclic s'est produit comme si le barrage du "gardien du seuil" s'était ouvert tout seul lorsque je l'ai franchit… Ce déclic va grandissant avec la maturation de la conscience, si j’avais eu cette conscience plus tôt... mais tout est juste et à sa place... En fait la nature ne se dévoile qu’à celui qui est prêt "en vibration" à recevoir consciemment ses informations… ensuite ça continue à "gestationner" en nous jusqu'à l'accouchement...
Le silence total n'existe pas en effet, ne serait-ce que par les bruits de toutes sortes de notre organisme interne sans compter le sifflements d'oreilles qui deviennent familiers… Et oui on accueille tout, parce qu'on a besoin de tout ce qui sert à la fusion.

 

L'énergie de la nature vit en nous (comme je l'ai dit plus haut) à condition de "déspiritualiser" et "d'élever" cette énergie jusqu'à notre conscience afin qu'elle dépollue réellement notre mental inférieur pour maintenir une stabilité sur la durée. Rudolf Steiner était au plus près du réel quand il associait l'éther de la nature, cette masse matérielle énorme, à un "autre plan"… qui dépassait l'étage spirituel…
Ce don avec la matière minérale te connectait sans doute à ton âme qui, comme tu le sais, garde les moindres artéfacts de mémoires, du plus loin qu'on ne peut même se l'imaginer… Encore plus loin et davantage si tu as toujours de "la misère avec cette profondeur de temps que ta propre matière aurait traversé".

 

Toutes personnes aimant tant soit peu la nature vit plus ou moins intensément tous ces points mais avec l'inconscience du temps de l'involution… Comme je l'ai souligné fut un temps ou la montagne était ma seule régénération mais sans la conscience du pourquoi ni comment, je ne m'en souciais guerre car j'ignorais tout de ce déclic… Ce qui te surprend au travers des éléments de la nature, vent, espace panoramique etc…, percutent la conscience, avec des effets secondaires d'une présence calmante et apaisante sur un ego qui ne se sent plus tout seul... Demeurer dans cette observation renforce le lien avec ce contact invisible, il devient omniprésent pour un jour naître au grand jour… Il semblerait que ce jour s'en vient pour toi…

 

Oui tout va toujours plus loin, c'est notre chienlit de mémoire astro-émotionnelle qui bouche notre vue au réel. Pour cela le double nous impose des contraintes contrastantes polarisantes comme l'alitement ou l'hyperactivité qui amène à de la fatigue et vous oblige à vous aliter a nouveau (domination du double)…
Alors que tout est une question de dosage de l'énergie d'effort à placer dans une choses et dans une autre…
Le fait de ressortir marcher après de longs jours assis ou couché nous donne une bonne mesure et un regard neuf à chaque sortie (accompagnement du double) sur cette énergie qui nous traverse de plus en plus… parce que notre taux vibratoire fait voler en éclats tous nos vieux schémas y compris biochimiques et physiques. Et ça tant qu'on en prend pas conscience on se plaindra de son immobilisme ou au contraire de ces tonnes de choses à faire en retard dans les placards…
Nous sommes responsables de notre véhicule corporel et de l'évolution de notre ego, les deux étant syntones avec l'éther de la nature, l'intégration de ces notions rend très efficace notre auto-protection contre les invasions astrales…

 

Bien heureuse pour toi que cette compréhension vienne à la suite d'un prolongement d'une position horizontale, contre ta volonté, qui te permets aujourd'hui de comprendre le sens de l'énergie de cette nature qui t'enlace et te donne tout à gogo et gratuitement… Quand vient le respect pour cette nature, qui nous a porté mieux qu'une mère, notre énergie nous revient décuplée au lieu d'être le plus souvent vampirisée par cette mère qui a cru nous aimer... La nature n'est plus jamais utilisée comme un outil astral pour des records sportifs, pour satisfaire un ego toujours plus gourmand sentimental, égocentrique, etc…
2019 nous dévoilera l'inconnu, sans aucun doute, grâce aux outils dont nous disposons, sans la soupe astralisée qu'on nous sert habituellement dans les médias. Admettre que l'énergie de la nature existe en parallèle de l'énergie qui nous traverse nous permettra de fusionner pour nous unifier à notre double éthérique, matérialisé et totalement dépolarisé.

 

Exact et on pourrait même se risquer à parier une main pour affirmer que ce ressenti aide l'énergie de la lumière de notre diamantaire d'esprit a mieux travailler l'ego brut pour en faire un ego lumineux…

 

Tous problèmes d'énergies matérielles en mutation porte leurs solutions en elles... Celle de ne voir aucun problème lorsque elles aussi ne sont que des tests pour mieux s'observer et traquer, comme un détective, la moindre dichotomie en soi qui nous ferait passer pour un usurpateur... Quand j'ai un doute je laisse l'énergie de la montagne me rappeler que nous sommes sans qualité ni défaut... Quand je reviens dans le monde celui-ci réussi toujours a s'infiltrer dans mes failles pour me faire réviser mon jugement sur moi-même, les choses, la vie, les gens... J'imagine que c'est un processus normal, pas de quoi s'alarmer, c'est juste bon de partager avec des personnes qui sont dans le même labyrinthe mémoriel amimique...

 

Nous sommes polarisés dès la première bouffée d'oxygène, probablement jusqu'à la dernière, sur un globe terrestre qui doit sa gravité à la polarité même.

Les jugements subtils sur soi-même, nourrit au travers les jugements des autres, sont en effet des boomerangs car autrui agit sur nous comme un miroir grossissant…

Mais il arrive un temps ou notre indépendance des autres nous fait briser ces miroirs qui ne nous servent plus… On se distancie, on se recroqueville sur soi parce que tous ces nous-mêmes ne sont plus nous… Le processus nous en éloigne et revenir en ville demande de monter de plus en plus haut son curseur de tolérance, parfois juste le temps de faire ses courses… C'est l'adaptation de l'intelligence éthérique…

 

Un retour d'un voyage lointain et idyllique dans le réel de la vraie vie d' une fin de saison hivernale et sa fonte des neiges... Neige qu'on avait tant attendue pour nous faire encore rêver dans sa blancheur et pour marcher sur ce manteau immaculé...

La nature, comme la personnalité ou le caractère humain, à ses revers de médaille, elle nous montre une autre facette d'elle-même et pas celle des bisounours spirituels…
On la déspiritualise, de gré ou de force, car son esprit nous teste également par tous les temps de sa propre météo, elle nous surprend toujours par ces tests qui peuvent virer aux "cauchemars-tests"…

Mais avec l'intelligence de l'esprit, tempêtes et inondations deviennent des petits remous dans un verre d'eau... face aux remous des mémoires emportées par l'eau des crues.

Il sera toujours temps après la tempête de contrôler et de réparer les dégâts, dont on se relève toujours, par la force de nos résilience…et du supra-ouil Jedi… Allez on respiiiiiiire…

 

La nature dans ce paradis terrestre ne nous trahis jamais, on aime son esprit qui nous aime aussi. Car on connait son tempérament et ses météos entre la journée la plus torride et la plus verglaçante, avec ses pluie diluviennes et ses foudres, on sait a quoi s'en tenir avec elle.

 

La nature se prête aux jeux métaphoriques comme les animaux qui l'habitent, on est souvent enclin à faire de l'anthropomorphisme, observer leur esprit à notre image ou à nos réactions humaines.

Ce cours en vulnérabilité pour les nuls peut en effet potentialiser nos capacités à vaincre la peur séculaire des orages, du tonnerre et des éclairs…

On reçoit de la nature avec la même intensité du franc-jeu qu'on lui à donné…

 

Il est bon de rendre "justice" à tout ce microcosme sans qui le recyclage de la matière organique, la fertilité du sol et le nourrissage d'autres espèces n'aurait pas lieux.
Chaque univers sous-terre est régit par ses propres lois, comme sur terre…
Pour avoir une réelle conscience de ce qu'ils sont on les observer avec une loupe grossissante, on remarque qu'il y a une créativité de toute beauté dans ces microcopiques univers, ex. les lichens.

 

Oui les Pyrénées, comme les Alpes ou tout autre endroit non dégradé, regorgent de lichens souvent de toute beauté!

Les forces éthériques de vie participent aux activités des microorganismes de façon à générer un équilibre écologique, dont nous faisons partie, étant constitués d'autant de minéraux dont nous avons besoin pour accomplir également nos propres fonctions.

Dans la nature rien ne se perd tout se crée, dans un cycle incessant et continu…En dépit des irresponsabilités de l'homme cette nature est programmée pour ressusciter de ses cendres quoi qu'il lui en coûte…ce n'est pas le cas des humains…

 

Quand on marche sur cette belle "pla-nette" on n'y voit que la beauté en surface sans se soucier de ce quelle peut bien vivre en son intérieur..., comme notre voisin de pallier qui en a rien à faire de nos soucis internes pourvu d'être courtois quand on le croise...

 

Un jour on se lève et on réalise que faire les choses pour les autres, pour leur plaisir, pour être aimé, par gentillesse ça n'est que du conditionnement spirituel qui nous fait passer l'autre avant soi, pour nous faire oublier jusqu'a notre propre identité… quitte à mourir pour lui…

Quand l'ego comprend que personne, mieux que lui-même, ne peut mieux le combler, une fois comblé par lui-même, soulagé profondément, son double peut rayonner… résultats : plus de dépendance à quelques images ou regard extérieur, récupération de ses propres pouvoirs. Ces rayons aident les autres à son insu… d'autant mieux que qu'il n'y avait aucune arrière-pensées de glorification égotique, que ce soit sur focus ou sur les sentiers…

 

L'ego s'est enrichi de l'énergie de ses multiples personnalités au fur et à mesure de ses incarnations.

Il a fait ce qu'il pouvait avec son temps, sa programmation, ses conditionnements environnementaux etc…

L'ego est un canal par lequel entre la lumière de l'esprit qui le burine, le nettoie de ses miasmes et scories millénaires pour devenir un ego lumineux qui irradiera à la ronde de son énergie désastralisée.

 

La camisole de l'ego, appelé périsprit, l'a protégé d'un trop grand afflue de hautes vibrations qui l'auraient empêché d'évoluer graduellement, à son rythme, contrairement à l'avatar Bernard qui a eu beaucoup de temps pour se remettre de cette brutale pénétration d'énergies dans tous ses corps physiques et subtils.

La lumière de l'énergie esprit est de même essence que la lumière de l'âme, elles travaillent conjointement sur l'ego chacune avec son programme et son agenda.

L'initiation des egos estampillés pour se conscientiser sont des essuyeurs de plâtres pour d'autres egos vivants, survivants ou à venir… élèves qui eux sauront dépasser leurs avatars d'aujourdhui...

 

La Relation de l'homme avec la nature, est un retour vers la source de l'énergie primordiale qui le prépare à discerner un processus de mortalité réelle et un accident de parcours qui lui fait entrevoir ce qui est stocké dans le cordon d'argent, tunnel vers le plan astral.

Si nous prenions conscience que rien ne peut détruire nos mémoires car elles sont sous scellés dans des étagères de la grande bibliothèque cosmique, ce serait plus facile de se concentrer à défaire le lien émotionnel qui nous rattache à ces mémoires, c'est ce lien qui provoque souffrances et malaises dans tous nos corps…

C'est probablement le plus gros travail à accomplir dans ce processus de nettoyage de l'ego évolutif avant de devenir totalement individuel et l'énergie de la nature peut nous être d'une aide salutaire pour peu qu'on en est perçu sa subtilité.

 

Nous faisons partie de ces instances qui étaient là avant le règne humain. Quoi de plus logique que chacun ait une couche astrale et éthérique qui lui permette d'être et de rester en lien énergétique avec les familles de son propre règne, comme nous le faisons imparfaitement car grossièrement entre nous les humains

Nous savons maintenant que les arbres communiquent entre eux par le forestier Peter Wohlleben qui nous apprend comment s’organise la société des arbres. Les forêts ressemblent à des communautés humaines, les parents vivent avec leurs enfants et les aident à grandir. Les arbres répondent avec ingéniosité aux dangers, leur système radiculaire, semblable à un réseau internet végétal, leur permet de partager des nutriments avec les arbres malades et de communiquer entre eux, leurs racines peuvent perdurer plus de dix mille ans…

Concernant les devas, émanants, élémentaux ou autres dénominations il nous arrive avec notre sensibilité de percevoir des formes dans les rochers, les arbres, l'eau, les nuages etc…

Chacun interprète ces formes selon son niveau d'évolution et de neutralité mais surtout sans y prêter le moindre pouvoir ou émotion au risque de rester plafonné au monde astral.

La nature à ses regroupement familiaux, tous communiquent parfaitement entre eux et souvent mieux que nous car en effet ils ont une "écoute" bien plus parfaite et élaborée que la nôtre.

Paris ne s'est pas fait en un seul jour…

 

L'écoute attentive demande une concentration élevée sur "le fond" de ce qui se dit et non sur la forme…

Une écoute qui s'interrompt est une écoute flottante ou distraite par des pensées parasites qui rompt le lien réel avec l'autre… Si on est capable de ne pas "écouter l'autre" il faut être capable de ne pas se sentir "entendu par l'autre", qui revient à dire zéro échange ou bavardages inutiles.

La capacité d'attention dépend de la capacité d'ouverture à l'échange et à en recevoir les bénéfices secondaires.

L'écoute est devenue ce qui demande le plus grand effort par une fâcheuse tendance à ne s'écouter que soi-même…

Peu importe ce qui arrive à nos oreilles, la psyché humaine sachant interpréter le condensé du fond en ignorant la touffe de la forme.

 

Les pensées qui ne nous appartiennent vont et viennent sans retenir notre attention, nous savons que c'est le seul moyen pour les dégouter de nous harceler…

L'écoute "active et volontaire" ne se conçoit que pour l'attention portée à son esprit, à son véhicule corporel, à autrui ou à un environnement qui capte notre intérêt.

Cet intérêt peut valoir une écoute à sens unique qui n'à pas forcément besoin d'échange ou de réflexion, mais sera considérée comme une nourriture pour le mental en favorisant le lâchage du réflexif au profit des énergies ambiantes.

 

Le tout est de ne pas être ou se faire diviser

 

l y a de la subjectivité émotive dans toute observation des choses dans leur état brut. Cette émotivité colore ce qui est observé selon divers paramètres liés au tempérament, caractère, vécu, perceptions intuitives, etc…

La vision propre à chacun est reliée à des capacités créatives et/ou artistiques que ne possède aucun appareil aussi performant soit-il…

Aucun outil ne peut remplacer le regard de notre esprit qui voit au travers du vide…

Dans ce vide il prend la matière disponible pour sculpter la forme… Le réel est visible dans l'occulte de cette forme, là où tout n'est qu'énergie de création…