Écrire

 EN COURS


Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de manière équitable, collaborative, créative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, anonymat garanti. ** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour egos surdimensionnés, auto-promotion… iront directement dans la corbeille.


 

 

 

Être sur le chemin de l’évolutionc’est mener une étude

BDMPE-028

 

 

 

 

BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".


Extraits de notes de plusieurs personnes, lors de conférences de BDM, proposées par Josée. L'exactitude des citations n'est pas garantie, elles ne sont que prétextes à études sur ce Focus. 


1. Pour écrire il faut qu’il y ait un besoin d’écrire, un trop plein d’énergie mentale.


2. Il y a une vibration à aller chercher pour écrire.


3. L’esprit ne donne rien à l’homme, l’âme oui.


4. Si tu ne laisses pas embarquer l’ego ou l’intellect pour faire descendre du matériel, l’esprit va t’expliquer comment aller le chercher.


5. Le plan mental ne donne rien dans un jet : on est obligé d’aller chercher le matériel voulu dans la source. C’est ça qui empêche de s’en faire avec le doute qu’ils mettent dans le mental.


6. Créer c’est se créer… l’art est appelé à devenir une science de l’énergie.


7. Il existe une capacité visionnaire dans l’écriture qui peut aider l’homme à entrer en contact avec sa source.


8. L’homme conscient écrit avec l’objectif de s’instruire, pas de s’amuser.


9. Écrire un livre puis révéler de l’information qui est retenue, qui n’est pas connue, ça demande aussi de développer de l’habileté dans l’écriture.


10. On n’écrit pas nécessairement dans le style qu’on aime.


11. Vous ne pouvez pas écrire le livre que vous voulez.
Ça prend de la patience et la capacité de laisser passer le matériel comme il vient. Ensuite il faut le réorganiser. L’intimité avec le mental, ça va dans les deux directions. L’homme fait de l’édition.


12. L’homme ne doit pas avoir d’idées. Quand tu écris, tu ne dois pas regarder ce qui sort, ce n’est pas ce que tu dis qui est important, c’est comment tu le dis. Tu sais que ça vient de la source quand tu écris dans une sorte d’intimité avec le mental. C’est ça la créativité. Il faut juste que tu t’intéresses à la créativité, pas à tes idées. L’homme ne doit pas avoir d’idées, il doit vibrer l’idée, sinon il aura des idées qui ne sont pas adaptées à ses corps et qui « l’ensorcellisent ».


13. Une personne qui peut écrire au niveau conscient n’a plus d’obstacle dans sa vie.


14. Quelqu’un qui développe l’écriture peut en arriver à aller loin dans sa communication avec la source.


15. L’ego qui écrit avec l’esprit voit à travers les mots. L’ego qui écrit avec l’âme marche avec la forme.


16. L’homme doit s’exercer à faire vibrer les mots, c’est-à-dire à ne mettre aucune valeur dans les mots et à aller jusqu’au bout de ce qu’il a à dire.


17. Vous le savez quand ça vient de la source, c’est quand vous savez que rien ne vous appartient. C’est totalement impersonnel, non coloré par de la mémoire. Vous devez pouvoir vous couper de la mémoire. Vous vous coupez dans la mesure où vous vous mêlez de « leurs » affaires.


18. Si tu ne penses pas quand tu écris, tu énergises ton potentiel électrique. Quand tu vibres t’es « eux-autres ». Quand tu penses, t’es pas « eux-autres ».


19. L’homme qui se conscientise se fait occultifier dans le sens qu’il commence par croire qu’il peut utiliser les mots pour accélérer le temps de sa désastralisation.


20. Faire de sa parole un masque, c’est transmettre une vibration souterraine (underground), c’est créer de la destruction au niveau des forces mémorielles souterraines. Quand il n’y a pas d’underground dans nos consciences, nous devenons des chandelles pour le plan mental.


21. Vous vous créerez vous-même en vous supportant tel que vous êtes dans votre parole (loi des mots qui donne la quiétude mentale par rapport à l’incertitude psychologique)."


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Commentaires: 35
  • #1

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:28)

    * 1. Bernard
    Pour écrire il faut qu’il y ait un besoin d’écrire, un trop plein d’énergie mentale.

    Josée
    Pour écrire il faut qu’il y ait un besoin d’écrire, un trop plein d’énergie mentale dans lequel on baigne de façon générale. C’est un don, et comme tous les dons peut-être, il est dispendieux d’entretien dans le sens qu’il fait vivre une pression occulte à contenir avec vigilance. C’est un assemblement de défunts, des intellectuels curieux, qui obsèdent l’ego non vigilant. Les miens m’obsèdent de leur impatience de décrire les choses pour avoir des compliments. Il faut sans cesse contenir ce trop-plein d’énergie mentale.

    Edwige
    Du besoin d'écrire découle la nécessité urgente d'écrire, ce peut être l'inverse…
    Dans les deux cas besoin et nécessité sont deux vases communicants qui permettent de garder l'équilibre de leur contenu en se déversant l'un dans l'autre, ou en se remplissant l'un de l'autre du trop-plein d’énergie mentale.

    L'énergie mentale à profusion a besoin d'atteindre un but. Pour se faire elle se sert de l'Intelligence et du discernement dans toutes les parties de nous, en équilibre dans notre centre. Chaque énergie associée à un principe a un but à atteindre, même si volonté et intelligence se rejoignent à un moment donné avec le principe de l'Amour.

    Cet océan d'énergies mentales, qui empli nos oreilles et notre cerveau jour et nuit, doit être appréhendé avec justesse pour ne pas succomber aux puissantes interférences des âmes désincarnées qui tentent, par leur séduction, de fidéliser l'ego fat de lui-même.

  • #2

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:29)

    * 2. Bernard
    Il y a une vibration à aller chercher pour écrire.

    Josée
    Quand l’ego arrive à écrire consciemment, c’est parce qu’il transcende complètement son don. Il a quitté le monde de son don qui est celui de la curiosité astrale, du désir d’être reconnu socialement, etc etc. Il écrit dans une nouvelle fréquence psychique où il se connecte avec sa source. Cette accession, il peut aller la chercher du fait que c’est en tant qu’entité parfaitement individualisée qu’il le fait, et non plus en tant que « porte-parole » d’égrégores extérieurs.

    Edwige
    La vibration à aller chercher se niche dans les 3 principes Volonté, Intelligence, Amour.
    Dans un premier temps derrière le principe de la volonté et celui de l'intelligence existe la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego en processus même si celui-ci est encore coloré par les réflexes de survies de son cerveau reptilien.

    Quand vient le temps, au fur et à mesure du processus d'écriture, l'énergie de l'Amour apparaît à notre insu. Cette énergie contient également la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego et de l'âme parfaitement désastralisés... L'énergie de l'Amour est le ciment éthérique qui consolide l'ensemble du triangle tout comme le discernement qui se trouve au centre des 3 cerveaux intuitif/rationnel/émotif.

    La transcendance d'un don d'écriture est la sublimation désastralisée d'une énergie émotive qui n'a pu se placer ailleurs dans un autre art. Les hautes fréquences de sa vibration personelle est un répulsif pour les parasites de tous acabits.

  • #3

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:30)

    * 3. Bernard
    L’esprit ne donne rien à l’homme, l’âme oui.

    Josée
    Avec l’âme comme source d’inspiration, on est dans la naïveté puisque l’âme est conçue pour donner donner donner tout ce qui va appâter l’homme à lui faire faire – aveuglément - des expériences. Écrire cessera graduellement de créer des « expériences » à mesure qu’on aura l’esprit comme source d’inspiration. Ce transfert de source demande d’être dans le sevrage de la quête d’expérience, mais activement car il faut assumer l’arrachage des croyances qui sont derrière ces quêtes d’expérience. L’esprit est en effet une énergie pure qui ne pénètre l’homme qu’au prix de déceptions continuelles. Écrire avec l’esprit nous pousse à un détachement de nos formes tandis qu’écrire avec l’âme nous fait nous attacher aux formes.

    Edwige
    L'esprit en tant que lumière de l'ego met le focus sur le premier attribut originel de l'âme, qui dans l'étincelle atomique de sa création contient les 3 principes de son créateur.

    Cependant étant assujettie à un programme d'expériences dépolarisées, au fils du temps elle est devenue, proportionnellement à l'évolution de l'ego, le sac animique qui stocke la moindre énergie d'expériences évènementielle et émotive.

    L'âme donne du fil à retordre à l'ego par la reviviscence d'émotions au travers chaque évènements, chocs, etc. qui accomplissent leurs œuvres celui de la transformation et de l'évolution de l'ego.

    On sort des croyances, de la naïveté de l'âme et de sa quête d'expériences qui vibrent avec ses besoins propres quand on expérimente une écriture télépathique sous tendue par l'énergie de l'esprit universel et de l'énergie du double éthérique, inspirés eux-mêmes par leur propre source.

    L'esprit individuel est la lumière de l'ego qui peut avoir des coupures de courant, en nous plongeant dans l'obscurité elles créent en nous le besoin du retour de cette lumière. Quand la lumière revient on s'attache de plus en plus à la vibration de cette lumière et de moins en moins aux miroitements des besoins d'expérience de l'âme.

  • #4

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:30)

    * 4. Bernard
    Si tu ne laisses pas embarquer l’ego ou l’intellect pour faire descendre du matériel, l’esprit va t’expliquer comment aller le chercher.

    Josée
    La valeur informationnelle de l’écriture est inversement proportionnelle au désir que l’ego en a par vanité. Pour demeurer dans une communication supramentale de haute teneur informationnelle, il faudrait préalablement se placer hors de portée de l’astral une fois pour toutes. Ça n’arrivera pas de notre vivant. Dans cette vie planétaire, on ne peut que constamment retourner aller chercher l’information sur le plan de l’esprit - en se branchant à l’esprit. L’esprit collabore à ce qu’on puisse se placer hors de portée de l’astral mais très temporairement car rien n’est gratuit, chaque fois il faut s’élever d’abord.

    Edwige
    La lumière de l'ego met le spot sur ce qui est à descendre. Cette lampe torche puissance éclaire le matériel qui coule de source abondamment, il est impossible de s'égarer sur un autre chemin, impossible d'aller dans les traverses de l'ego ou de l'intellect.

    L'écriture est porteuse d'informations supramentales dans la mesure où l'ego lui cède sa mainmise. Il peut consentir à faire sa révérence à l'énergie mentale quand il se sent en sécurité débarrassé de l'astralité dans toutes ses facettes. La lumière de l'énergie de l'esprit, qui éclaire l'ego, lui montre où puiser de l'information non colorées par de basses vibrations, Ça prend une durée de temps qui est programmée pour chacun.

  • #5

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:31)

    * 5. Bernard
    Le plan mental ne donne rien dans un jet : on est obligé d’aller chercher le matériel voulu dans la source. C’est ça qui empêche de s’en faire avec le doute qu’ils mettent dans le mental.

    Josée
    Il ne s’agit plus de la quête de la clé des mystères livrée aux chanceux sur un plateau d’argent. La face cachée de ce fantasme est une propension au doute. Or, pour canaliser de l’information nouvelle, il faut apprendre à se voir comme étant plus puissant que tous ses doutes, capable de prendre toute panne d’inspiration.

    Edwige
    Le plan mental ébauche une préface, la source développe les chapitres.

    Pour aller chercher le matériel dans sa source l'ego utilise sa personnalité, son caractère et son tempérament en processus de conscientisation, même s'il est encore coloré par les réflexes primitifs de son cerveau reptilien. Il utilise également la vibration des principes de sa Volonté et de son Intelligence en développement, derrière lesquelles agissent la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique. Toutes ces énergies combinées ne distillent pas "le doute" car aucun parasitage de pensées astrales ne peut interférer.

    Il n'y a aucune clé de mystère car tous les niveaux connaissances, livrées aux dits chanceux, qu'ils soient cartésiens, analytique, ésotérique, spirituel, qui traitent de l'invisibilité fascinant, tous ces niveaux partie de l’involution. (dixit Bernard). Les ego orgueilleux, fat d'eux-mêmes, qui soutiennent mordicus la véracité de ces mystères sont incapables inspiration car enfermé dans une chape de plomb astrale.

  • #6

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:32)

    * 6. Bernard
    Créer c’est se créer… l’art est appelé à devenir une science de l’énergie.

    Josée
    Il ne suffit pas d’avoir une belle plume pour être créatif. Cette pseudo créativité est le fruit d’une multitude de parasites énergétiques qui sont autant de causes : il y a la cause lyrique, métaphorique, dramatique, romantique et même technique ! L’homme réel a fait cette découverte, et s’il écrit, il n’est plus solidaire que de sa propre cause à l’exclusion des autres. Chaque fois qu’il lui est donné d’écrire de façon centrique, il se voit entrer dans son identité propre.


    Edwige
    Créer revient à s'enfanter et s'accoucher de soi-même dans une création artistique où l'énergie émotive contient la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique, la vibration de l'énergie de l'ego en processus même si celui-ci est encore coloré par les réflexes de survies de son cerveau reptilien.

    L’art est appelé à devenir une science de l’énergie émotive

    Pour être créatif il faut savoir donner une forme a son énergie émotive, avoir une belle plume, un bon coup de pinceau, de clavier ou un autre instrument est un plus pour le double qui aime l'harmonie et l'équilibre dans le beau et l'esthétique.

    Une créativité parasitée fût valable dans le temps involutif où l'humain avait besoin de se divertir, de projeter ou de vivre au travers d'émotions astralisées qui nourrissent les plans et non l'esprit.

    L'homme réel qui écrit nourrit son esprit en s'instruisant de lui-même, en se découvrant dans les labyrinthes de son inspiration.

  • #7

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:33)

    * 7. Bernard
    Il existe une capacité visionnaire dans l’écriture qui peut aider l’homme à entrer en contact avec sa source.

    Josée
    La même chose est vraie pour la peinture, la dramaturgie, la photographie, le cinéma, etc. La capacité visionnaire est un don commun à bien des artistes inconscients. Mais cette plate-forme de communication visuelle est astrale. Elle ne sera transmutée que durant le processus de fusion, à mesure qu’elle servira à établir l’échange avec le moi cosmique, au même titre que les mots, les manifestations corporelles ou les clins d’œil événementiels qui tous construisent une intimité entre le moi planétaire et sa source cosmique.


    Edwige
    La capacité visionnaire dans l'écriture est le miroir des attributs de l'esprit universel et du double éthérique qui sont déjà sur la place en contact avec leur propre source.

    La capacité visionnaire des artistes inconscient de la période involutive vivait dans la sublimation de leur mal-être, cette sublimation était supportée par des pulsions astrales. Ces mêmes artistes qui se conscientisent n'ont qu'un pas à franchir pour utiliser leur art en conscience, en conscience de mettre en forme l'énergie occulte de leurs émotions créatives avec la vibration des énergies intelligentes de l'esprit universel et du double.

  • #8

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:36)

    * 8. Bernard
    L’homme conscient écrit avec l’objectif de s’instruire, pas de s’amuser.

    Josée
    Reste sur ton besoin d’instruction, de toute façon c’est jouissif.

    Edwige
    L'homme conscient, qui n'est pas intéressé à être conscient, il s'instruit sans désir egoïque ni se prendre au sérieux, tout en considérant sérieusement son instruction.

    On s'instruit en écrivant, on oublie tout après ce qui permet de se distraire ou de s'amuser sur la neige…

  • #9

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019)

    * 9. Bernard
    Écrire un livre puis révéler de l’information qui est retenue, qui n’est pas connue,ça demande aussi de développer de l’habileté dans l’écriture.

    Josée
    Le matériel est exact. Les phrases doivent donc être forgées exactement pour rendre le matériel. Il est pertinent de développer de l’exactitude dans la correspondance entre ce qu’on sent et ce qu’on formule. La pratique demeure un excellent moyen d’y arriver.

    Edwige
    Pour soulever le voile d'une rétention d'informations méconnues, ça demande d'être bien connecté à son fournisseur d'infos afin que cette information soit vibratoirement exacte.

    Être habile dans l'écriture requiert cette capacité d'habileté quand les informations reçues se trouvent dans les téléchargements sonores qui parviennent aux deux oreilles et se propagent dans les 3 cerveaux. L'information discernée se met en page avec toutes les énergies de créativité des deux principes intelligents et volontaires contenus dans l'ego conscient.

    Les phrases doivent rendre la vibration du matériel tel quel, sans tenir compte de certains sentis empreints d'hésitations qui dévient la formulation. On devient forgeron en forgeant, on devient écrivain télépathe en écrivant télépathiquement.

  • #10

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:37)

    * 10. Bernard
    On n’écrit pas nécessairement dans le style qu’on aime.

    Josée
    Quand on écrit sur le nouvel homme, c’est complètement révolutionnaire. On est dans l’artisanat des idées de demain. Or, justement il faut que ça reste juste ça, de l’artisanat, et non plus que ça devienne la haute littérature à laquelle on aspirait mémoriellement par l’intermédiaire de certains défunts.

    Edwige
    L'écriture télépathique contient en elle toutes les vibrations de nos dimensions réelles, le style qu'on aime est le style d'un ego narcissique, c'est une écriture colorée par les vibrations spirituelles-astrales et non par sa source.

    Ne pas aimer le style avec lequel on écrit sous-entend aimer ce nouveau style qu'on ne connaissait pas et qui devient nôtre. Même si ça devient de la haute littérature tant qu'elle est accessible au commun des mortels on perfectionne son aspect artisanal, car cette écriture sera toujours avant-gardiste.

  • #11

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:40)

    * 11 Bernard
    Vous ne pouvez pas écrire le livre que vous voulez. Ça prend de la patience et la capacité de laisser passer le matériel comme il vient. Ensuite il faut le réorganiser. L’intimité avec le mental, ça va dans les deux directions. L’homme fait de l’édition.

    Josée
    La personne qui aime écrire aime idéaliser le livre qu’elle publiera un jour. Mais l’imagination est une cathédrale dorée dont il faut se déshypnotiser parce qu’en éblouissant l’ego, elle le garde passif. Ce lâcher-prise cèdera la place à une réelle intimité avec le plan de la lumière, et ceci enfin dynamisera l’ego. Car se tenir face à de la lumière n’a rien de statique. Il faut apprendre à affronter avec calme toute panne d’inspiration… et toute surabondance d’inspiration ! Un ego dynamisé par son intimité avec sa source ne craint plus de gérer la composition de son livre.


    Edwige
    Le désir d'écrire un livre qu'on veut est un désir de valorisation de l'ego.

    Prendre le matériel tel quel au moment où il arrive est un signe de proximité étroite avec sa source qui, elle aussi, a besoin de cette proximité bidirectionnelle sans interférence des désirs de l'ego .

    Ce matériel est réorganisé pour un ordonnancement parfait afin qu'une fois édité il soit accessible et compréhensible au commun des mortels.

    La personne qui aime écrire se projette dans l'instant présent de ce qu'elle écrit et non dans des futurs improbables.

    L'imagination est pourvoyeuse de séduction pour un ego en attente de célébrité, il est encore astralisé dans cette imagination

    Il n'y a plus de panne d'inspiration quand il suffit d'ouvrir et de fermer le robinet de la source. C'est nous qui sommes aux commandes des vannes car nous avons une vie a vivre en dehors du contact avec la source

    L'obsession d'écrire un livre est une obsession narcissique doublée d'une crainte de la mort on croit que le livre nous survivra dans la mémoire des vivants.

  • #12

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:41)

    * 12. Bernard
    "L’homme ne doit pas avoir d’idées. Quand tu écris, tu ne dois pas regarder ce qui sort, ce n’est pas ce que tu dis qui est important, c’est comment tu le dis. Tu sais que ça vient de la source quand tu écris dans une sorte d’intimité avec le mental. C’est ça la créativité. Il faut juste que tu t’intéresses à la créativité, pas à tes idées. L’homme ne doit pas avoir d’idées, il doit vibrer l’idée, sinon il aura des idées qui ne sont pas adaptées à ses corps et qui « l’ensorcellisent »."

    Josée
    Avec les idées, on est dans le désir. Mais il n’y a pas de place pour le désir dans la centricité de l’homme qui écrit avec l’esprit. La seule chose qui vibre de concert avec la vibration de la programmation, c’est le besoin. Il faut que l’homme écrive de par un besoin évolutif de comprendre quelque chose de précis dans un moment précis de sa programmation.

    Edwige
    Dans le contact télépathique aucune idée ne peut s'immiscer. Quand on écrit on ne juge pas ce qui sort, on ne le déforme pas, ne le retiens pas.

    Ce qui est important c'est la forme de la vibration du fond de ce qui sort. Cette vibration du fond vient de sa source connectée au mental créatif qui a de l'intérêt pour cette vibration qui prend forme dans les corps subtils puis sous les doigts.

    L'ego ne peut s'empêcher de désirer écrire pour se voir publié. Ce n'est pas la volonté de la source qui désire que nous écrivions pour s'instruire et propager l'information qui nous a instruit. Ce peut être le besoin évolutif pour chacun de recevoir ce dont la source désire nous instruire.

  • #13

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:43)

    * 13. Bernard
    Une personne qui peut écrire au niveau conscient n’a plus d’obstacle dans sa vie.

    Josée
    Écrire au niveau conscient signifie établir un dialogue télépathique extrêmement serré avec sa source mentale, où l’ego est suffisamment transparent pour contester et ajuster et s’ajuster tout au long des éléments successifs de l’inspiration, de façon à démasquer les tentations diaboliques de l’esprit qui sporadiquement viennent vérifier le degré de corruptibilité de l’ego par les épreuves inhérentes à l’écriture. C’est en somme un microcosme de la vie.

    Edwige
    L'écriture supramentale est un cordon d'argent répulsif pour toutes intrusions et viol psychique dans sa vie.

    L'ego qui entre dans son autorité intérieure connait ses créneaux personnels énergétiques où il sera en parfaite télépathie avec sa source sans se faire parasiter.

    Cette autorité lui permet par ailleurs de contester tout ce qui n'entre pas dans la logique de son discernement, qui s'immisce subrepticement et qu'il sent hors sujet… Ce peut être l'arrogance de l'ego ou ses redondances qui tournent autour de lui et pour lui et non aux affaires d'"eux autres".

  • #14

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:43)

    * 14. Bernard
    Quelqu’un qui développe l’écriture peut en arriver à aller loin dans sa communication avec la source.

    Josée
    Il y a un parallèle à faire entre l’acte d’écrire consciemment et la fusion entre l’homme et sa source, les deux sont de la co-création multidimensionnelle, les deux passent par le déploiement d’un échange entre eux qui soit équitable malgré la différence entre les deux dimensions, l’une spiritualisée et l’autre, une magnitude. Progresser dans l’un profite à l’autre. Écrire est un espace de déspiritualisation de la magnitude, qui permet de se rapprocher de cette vastitude.

    Edwige
    L'écriture est un art, comme tous les autres supports à l'énergie émotive. Elle peut mener à l'énergie de l'Amour dans la source qui contient également la vibration de l'énergie de l'intelligence de l'esprit universel et individuel, la vibration de l'énergie de l'intelligence du double éthérique. Elle désastralise la vibration de l'énergie de l'ego et de l'âme... L'énergie de l'Amour est le ciment éthérique qui consolide créativement l'ensemble du triangle V.I.A., tout comme le discernement qui cimente les 3 cerveaux intuitif-rationnel-émotif.

    Écrire symbiotiquement avec sa source est aussi un échange de bons procédés; l'un donne sa plume à l'autre qui donne une énergie qui veut descendre pour se matérialiser créativement.

  • #15

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:44)

    * 15. Bernard
    L’ego qui écrit avec l’esprit voit à travers les mots. L’ego qui écrit avec l’âme marche avec la forme.

    Josée
    Le monde de l’âme est un monde où « on croit ». La valeur qu’on donne aux choses leur confère un statut de loi et on ne peut plus faire autrement que de marcher au pas. L’esprit est un devenir infini. Si l’âme est le passé, l’esprit est le futur. Les mots ne sont plus des barreaux racontant une histoire passée, ils sont la structure qui tient en place un souffle le temps d’une écriture afin de faire restituer ce souffle le temps d’une lecture, ultérieurement, par un autre avatar de l’esprit.

    Edwige
    L'ego connecté à l'esprit entend les mots contenus dans les sons vibratoires dans ses oreilles et dans sa tête. Écrire avec l'âme devient une succession d'histoires personnelles sans intérêt pour la progression de notre évolution.

    Le monde de l'âme incarnée est sous-tendu par une énergie émotive souterraine qu'on ferait bien de ne pas ignorer et d'écouter dans la subtilité de son langage.

    Il y a dans ce monde beaucoup de valeurs sans aucune valeur autre que celles de l'inconscience.

    L'esprit, lumière de l'ego, fusionnera en son temps avec les énergies contenues dans l'âme qui permettront la matérialisation de l'ego cosmique qui est le réel futur de l'homme nouveau.

    Les mots sont des prisons dont les barreaux empêchent l'accès à une compréhension de la vibration des sons.

  • #16

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:45)

    * 16. Bernard
    L’homme doit s’exercer à faire vibrer les mots, c’est-à-dire à ne mettre aucune valeur dans les mots et à aller jusqu’au bout de ce qu’il a à dire.

    Josée
    La priorité dans l’écriture n’est ni dans la forme ou style du texte ni dans les formes ou pensées rassemblées dans le message. Elle est dans la cohérence vibratoire entre l’ego et son énergie. Autrement dit, elle est dans la capacité de l’ego de recevoir quelque chose qui doit être dit sans s’arrêter aux formes qui servent au transfert. Ce fut la force de Bernard.

    Edwige
    Pour que les mots vibrent ils doivent être descendus dans la vibration de l'énergie créative de l'esprit universel et du double éthérique eux-mêmes connectés à leur propre source. C'est un exercice qui s'affine au fur et à mesure de l'intensité de la connexion.

    La valeur sous-jacente de nos mots n'est qu'illusion d'interprétation de leur définitions astralisées, le dictionnaire des mots n'a jamais prétendu faire vibrer quoi que ce soit dans l'éther.

    Aller au bout de ce qu'il y à a dire c'est ne pas casser l'énergie en cours de création et de descente de cette vibration…

    L'ego en processus est soutenu par la lumière de l'énergie de son esprit. Il progresse dans sa capacité à ne pas déformer, ni transformer la vibration contenue dans ce qui est à dire. La force de l'ego est d'être dans l'exactitude du fond de ce qui est dit et non pas de sa forme, un analphabète devrait être capable de restituer ce fond, de quelque façon que ce soit, peinture, musique, danse, etc…

  • #17

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:46)

    * 17. Bernard
    Vous le savez quand ça vient de la source, c’est quand vous savez que rien ne vous appartient. C’est totalement impersonnel, non coloré par de la mémoire. Vous devez pouvoir vous couper de la mémoire. Vous vous coupez dans la mesure où vous vous mêlez de « leurs » affaires.

    Josée
    La transparence du canal psychique est insipide, incolore, inodore. C’est une élévation vibratoire aux allures paranormales mais sans effets spéciaux. C’est un ascétisme très vibrant, une ellipse du soi, une dégustation du futur.

    Edwige
    On sait que ça vient de la source quand on sait objectivement que ça ne vient pas de notre ego qui n'est pas encore totalement transparent. Un ego qui n'est pas transparent a encore de la mémoire imprimée dans sa personnalité.

    Se couper de la mémoire c'est dissoudre le lien énergétique qui relie l'ego au stock de mémoires d'expériences polarisées. On se mêle de 'leurs affaires quand on utilise froidement l'énergie dépolarisée et transmutée des l'expériences de l'âme et de l'ego stockées dans le sac à mémoires.

    Tout ce qui vient de la source est transparent comme une eau potable que l'on n'hésite pas à boire.

  • #18

    Josée (samedi, 16 novembre 2019 10:46)

    * 18. Bernard
    Si tu ne penses pas quand tu écris, tu énergises ton potentiel électrique. Quand tu vibres t’es « eux-autres ». Quand tu penses, t’es pas « eux-autres ».

    Josée
    Notre potentiel électrique est retenu par un condensateur qui est l’astral, qui nous retient par sa théatralisation de la mémoire. Mais nous appartenons au réel, avec « eux-autres », avec ce plan mental qui travaille dans les coulisses de notre psyché. Nous, sur la scène, on s’allie à la salle, au qu’en dira-ton : on pense. Les écrivains involutifs se mettaient ainsi en scène. Si au contraire on s’allie aux coulisses qui s’étendent sans fin derrière la scène, on commence enfin à comprendre la pièce, on commence enfin à retrouver nos esprits. L’écrivain qui cesse de subir la scène restaure peu à peu son potentiel électrique intégral.

    Edwige
    Quand ce qu'on écrit coule de source, l'énergie électrique qui décent n'est pas court-circuitée par les pesées, notre énergie fait corps avec celle "d'eux-autres". Notre taux vibratoire augmente en intensité, il procure un état de transcendance jouissive.

  • #19

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 10:47)

    * 19. Bernard
    L’homme qui se conscientise se fait occultifier dans le sens qu’il commence par croire qu’il peut utiliser les mots pour accélérer le temps de sa désastralisation.

    Josée
    Ça ça me touche personnellement. J’ai remarqué, c’est vrai, que quand on commence en conscience, on voit apparaître à la portée de notre conscience des attitudes qui jusqu’alors avaient été enfouies et étaient restées insoupçonnées. Quand surgit ainsi une charge à la nouvelle conscience naissante non vigilante encore, l’ego – peu averti, peu dégourdi - lui cède et s’en obsède : c’est ça aussi le choc de l’esprit. On se voit égocentrique, vaniteux, impatient, etc, et on ne saisit pas tout de suite que toutes les âmes sont programmées avec ces pulsions. Il y a par exemple la pulsion, vieille comme le monde, qui a pour but de pousser l’ego à vouloir « sauver son âme ». Cette pulsion se manifeste en début d’évolution, le temps de rendre l’ego désireux d’accélérer le temps de sa désastralisation. Quand la personne a à développer l’écriture et qu’elle est aux prises avec cette ambition qui remonte des oubliettes, sauver son âme, elle récupère cette plate-forme de communication avec l’invisible pour se croire plus désastralisée qu’elle ne l’est en réalité. Souvent l’ego pressé d’avancer se croit aussi élevé en vibration que l’information sous sa plume - qui pourtant est ramenée de Bernard. Ou bien l’ego obtient une canalisation par l’écriture mais il fait l’erreur d’en faire son statut. La solution ? Elle vient par l’écriture. C’est ce lieu de folle ambition qui est transmutée en outil de conscience à mesure qu’il se libère de ses prétentions durant l’acte même d’écrire. Se centrer durant l’écriture fait en effet de celle-ci un miroir des pulsions inconscientes à conscientiser.
    fait l’erreur d’en faire son statut. La solution ? Elle vient par l’écriture. C’est ce lieu de folle ambition qui est transmutée en outil de conscience à mesure qu’il se libère de ses prétentions durant l’acte même d’écrire. Se centrer durant l’écriture fait en effet de celle-ci un miroir des pulsions inconscientes à conscientiser.

    Edwige
    L'ego se fait occultifier au début, le temps de la découverte et de l'intégration de sa capacité à entrer en contact avec sa source. Avec les tests évènementiels dans sa vie il comprend que sa désastralisation est multifactorielle, qu'elle ne dépend pas de son dialogue avec sa source qui est d'abord instructive et expérientielle pour lui.

    Quand on entre en conscience, un autre MOI déguisé en flic et en détective privé nous observe sous toutes les coutures et dans toutes nos dichotomies pour transformer la polarité de ce que tu appelles pulsion en outils de conscience et d'évolution.

    L’ego pressé d’avancer se croit aussi élevé en vibration que celles qui lui viennent de la parole de Bernard hautement thérapeutique. Quand en plus il se met a écrire il augmente son potentiel a "être bien dans sa peau" juste au moment où il écrit, puis il passe à autre chose dans sa vraie vie sans "folle ambition".

  • #20

    Josée (samedi, 16 novembre 2019)

    * 20. Bernard
    Faire de sa parole un masque, c’est transmettre une vibration souterraine (underground), c’est créer de la destruction au niveau des forces mémorielles souterraines. Quand il n’y a pas d’underground dans nos consciences, nous devenons des chandelles pour le plan mental.

    Josée
    L’écriture pose un choix. Il n’y a qu’une alternative : l’appartenance à notre dimension supérieure – dans notre centricité - ou l’allégeance à l’ogre astral – dans toute échappée périphérique à notre centre. De par la condition humaine, de par notre inconscience, nous sommes aveugles aux vastes impacts de cette alternative unique, certes, et quand même nous pouvons poser notre choix à tout moment dans la vie. Ce saut quantique est possible parce que nous pouvons ressentir vibratoirement notre centricité, et, par contraste avec elle, toute échappée périphérique à notre centre.
    Or, dans l’intimité particulière que nous connaissons avec notre source pendant que nous écrivons, ce senti est très présent. L’écriture en voix de conscience est une oscillation entre les envolées verbeuses, où nous continuons à nourrir l’entropie dévastatrice, et les dictées mentales centriques, si fastidieuses pour l’ego toujours en mal de fuite… et si harmonieuses pour nos corps, nos centres, notre êtreté totale.

    Edwige
    Une parole qui porte le masque du paradoxe et de la dichotomie, aussi subtil et indéfinissable soit-il, crée de la violence psychique par la vibration de pulsions mémorielles larvées, destructrices en arrière-plan.

    Si la conscience est dégagée de toutes vibrations d'arrières pensées astralisées ou d'envolées verbeuses, celle-ci devient une pure lumière qui magnétise la source des sources.

  • #21

    Edwige (samedi, 16 novembre 2019 11:11)

    * 21. Bernard
    Vous vous créerez vous-même en vous supportant tel que vous êtes dans votre parole (loi des mots qui donne la quiétude mentale par rapport à l’incertitude psychologique)." qui donne la quiétude mentale par rapport à l’incertitude psychologique)

    Josée
    Ne pas juger ce qu’on écrit nous fait nous libérer des forces spiritualisantes et de la notion du bien et du mal qu’elles instituent. Ne pas juger ce qu’on écrit permet à l’ego de se stabiliser et d’accéder à son identité fondamentale.

    Edwige
    En supportant notre parole dans ce que nous sommes en réalité, les mots dans leur discernement donnent un repos mental qui balaie nos pensées subjectives.

    Juger ce qu'on écrit nous assujetti a des forces qui veulent empêcher la descendre de l'énergie créatrice de notre source.

    Ne pas juger ce qu'on écrit est un signe qu'on est dans sa réelle autorité intérieure, non seulement on ne déforme pas ni le sens ni la vibration de ce qui est dit mais en plus on en maitrise le mouvement.

  • #22

    josee (samedi, 16 novembre 2019 14:38)

    "En supportant notre parole dans ce que nous sommes en réalité, les mots dans leur discernement donnent un repos mental qui balaie nos pensées subjectives."

    j'ai le même sentiment d'être enfin chez moi quand je fais un avec le texte.

    "Juger ce qu'on écrit nous assujettit a des forces qui veulent empêcher la descendre de l'énergie créatrice de notre source."
    les structures du mensonges foisonnent beaucoup quand l'ego conscient, l'ego en voie de fusion, fait l'expérience astrale de s'écouter penser qu'il a vraiment mal écrit (ou vraiment bien écrit aussi). il peut alors ressentir qu'il se fait souffrir et aussitôt vidanger l'astralité qui en lui demandait dans ce jugement à s'intégrer à la fusion...

    "Écrire symbiotiquement avec sa source est aussi un échange de bons procédés; l'un donne sa plume à l'autre qui donne une énergie qui veut descendre pour se matérialiser créativement."
    c'est une compréhension déspiritualisée de la relation entre les deux moi planétaire et cosmique. intéressant.

    "La valeur sous-jacente de nos mots n'est qu'illusion d'interprétation de leur définitions astralisées, le dictionnaire des mots n'a jamais prétendu faire vibrer quoi que ce soit dans l'éther."
    on a vu tout au long de la civilisation les intellos s'extasier sur les mots, scruter les mots, déplier les mots. mais ce fut toujours fait sous la direction du mensonge, sans connaître les ressorts invisibles derrière cette passion. cette passion s'avèrera bien tiède comparée à la vibration du plan mental où les mots nous maintiendront suspendus.

  • #23

    josee (samedi, 23 novembre 2019 16:14)

    voici d'autres extraits des 6 premiers points :
    "L'écriture est porteuse d'informations supramentales dans la mesure où l'ego lui cède sa mainmise."
    c'est un résumé de l'importance de pratiquer cette communication entre notre volonté et notre moi resté dans la source.

    "le don d'écriture est la sublimation désastralisée d'une énergie émotive qui n'a pu se placer ailleurs dans un autre art."
    l'émotion pure est une conscience d'une harmonie qui a besoin d'un formatage harmonieux pour s'intégrer au plan matériel. tous les moyens sont bons pourvu qu'ils soient faciles et naturels, il ne faut pas prioriser l'un sur l'autre, ce serait par croyance qu'on forcerait par exemple l'écriture en première position par rapport à de l'art visuel, ou le contraire.

    "L’art est appelé à devenir une science de l’énergie émotive. Pour être créatif il faut savoir donner une forme a son énergie émotive, avoir une belle plume, un bon coup de pinceau, de clavier ou un autre instrument est un plus pour le double qui aime l'harmonie et l'équilibre dans le beau et l'esthétique. Une créativité parasitée fût valable dans le temps involutif où l'humain avait besoin de se divertir, de projeter ou de vivre au travers d'émotions astralisées qui nourrissent les plans et non l'esprit. L'homme réel qui écrit nourrit son esprit en s'instruisant de lui-même, en se découvrant dans les labyrinthes de son inspiration."
    on se découvre en écrivant, et par extension on découvre autrui. l'inspiration astrale était empêchée d'être scientifique.

  • #24

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:53)

    Josée
    j'ai le même sentiment d'être enfin chez moi quand je fais un avec le texte.

    Edwige
    Se sentir chez soi c'est réellement être dans un territoire d'écriture inviolé.

  • #25

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:54)

    Josée
    les structures du mensonges foisonnent beaucoup quand l'ego conscient, l'ego en voie de fusion, fait l'expérience astrale de s'écouter penser qu'il a vraiment mal écrit (ou vraiment bien écrit aussi). il peut alors ressentir qu'il se fait souffrir et aussitôt vidanger l'astralité qui en lui demandait dans ce jugement à s'intégrer à la fusion...

    Edwige
    Écouter son ego mal dégrossit est un pacte astral polarisé à rompre très vite quand on s'aperçoit qu'on y est assujetti sans discernement du processus de conscientisation.

  • #26

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:55)

    Josée
    c'est une compréhension déspiritualisée de la relation entre les deux moi planétaire et cosmique. intéressant.

    Edwige
    Un échange de bons procédés c'est ce qui fait tout la valeur d'une relation a double sens, authentique et durable.

  • #27

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:55)

    Josée
    on a vu tout au long de la civilisation les intellos s'extasier sur les mots, scruter les mots, déplier les mots. mais ce fut toujours fait sous la direction du mensonge, sans connaître les ressorts invisibles derrière cette passion. cette passion s'avèrera bien tiède comparée à la vibration du plan mental où les mots nous maintiendront suspendus.

    Edwige
    Les adeptes de la jouissance de la forme des mots et de leurs connotations a plusieurs étages n'avaient pas conscience du détournement de cet objet de jouissance masturbatoire…

  • #28

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:57)

    Josée
    c'est un résumé de l'importance de pratiquer cette communication entre notre volonté et notre moi resté dans la source.

    Edwige
    La volonté sous-tend l'entretien de l'intelligence dans la communication avec son jumeau éthérique.

  • #29

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:57)

    Josée
    l'émotion pure est une conscience d'une harmonie qui a besoin d'un formatage harmonieux pour s'intégrer au plan matériel. tous les moyens sont bons pourvu qu'ils soient faciles et naturels, il ne faut pas prioriser l'un sur l'autre, ce serait par croyance qu'on forcerait par exemple l'écriture en première position par rapport à de l'art visuel, ou le contraire.

    Edwige
    L'émotion pure est une énergie créatrice dépolluée de tout parasites qui l'empêcherait de s'exprimer de toutes les façons qui lui conviennent.

  • #30

    Edwige (dimanche, 24 novembre 2019 09:58)

    Josée
    on se découvre en écrivant, et par extension on découvre autrui.
    L'inspiration astrale était empêchée d'être scientifique.

    Edwige
    Dans l'écriture générative on accouche de soi-même et on aide l'autre à accoucher de lui-même. Une fois les deux naissances accomplies on se découvre mutuellement en favorisant une inspiration télépathique avec sa propre source

  • #31

    josée (dimanche, 24 novembre 2019 21:03)

    avec toutes les satisfactions qu'apporte l'écriture, c'est récupéré pour être exploité comme désir. il faut intégrer cette dépendance dans la mesure où on en devient conscient, même si c'est juste une nouvelle mémoire.

  • #32

    Edwige (vendredi, 06 décembre 2019 02:55)

    Les montées en vibrations des corps subtils durant l'écrire procurent un bien être qui génère la nécessité, le besoin d'entretenir cet équilibre énergétique et d'en augmenter le taux pour plus de communication, de télépathie, d'informations descendues, ça devient une seconde nature qui ne créé pas de karma...

    La dépendance est astrale et mémorielle si l'écriture répond à un désir narcissique d'être lu et reconnu… Il ne peut y avoir dépendance quand nous contrôlons les vannes qui ouvrent et ferment le contact selon les besoins de ce que nous avons à vivre par ailleurs selon notre programmation...

  • #33

    josée (dimanche, 15 décembre 2019 12:28)

    ce qui m'a toujours sidérée avec la descente de l'information, c'est qu'elle nous fait vraiment comprendre les vieux concepts, comme le karma par exemple, au moment même où on libère du phénomène.

  • #34

    josee (samedi, 04 janvier 2020 22:05)

    jusqu'à aujourd'hui, j'ai vécu la découverte du phénomène que tu décris ici :
    "Les montées en vibrations des corps subtils durant l'écrire procurent un bien être qui génère la nécessité, le besoin d'entretenir cet équilibre énergétique et d'en augmenter le taux pour plus de communication, de télépathie, d'informations descendues, ça devient une seconde nature qui ne créé pas de karma."

    Maintenant, en ce début d'année 2020, des lecteurs s'ajoutent à la donne et je vis ce dont tu parles ici :
    "La dépendance est astrale et mémorielle si l'écriture répond à un désir narcissique d'être lu et reconnu."
    Alors c'est une étape nouvelle qui commence durant laquelle je devrais vivre durant l'acte même d'écrire une majeure ouverture et fermeture de la télépathie, puisque je voudrai couper le contact quand je m'inquièterai des visiteurs dans le sens que je vais courir après leur soutien) mais que par ailleurs je voudrai flotter dans le contact quand ses vibrations m'aideront à éditer le mensonge. Tu en parles ici :
    "Il ne peut y avoir dépendance quand nous contrôlons les vannes qui ouvrent et ferment le contact selon les besoins de ce que nous avons à vivre par ailleurs selon notre programmation."

  • #35

    Edwige (dimanche, 05 janvier 2020 05:39)

    Je confirme qu'il est important de vivre ce que nous avons à vivre sur le plan matériel. Devenir télépsychique n''exclue pas de continuer à vivre notre programmation jusqu'au bout et à réussir à modifier la donne de cette programmation en fonction des montées vibratoires... Contrôler les vannes énergétiques dans la communication fait partie de son autorité intérieure, le double, en tant qu'énergie prépersonelle est disponible en tout temps. C'est nous qui n'avons pas à être disponible en tout temps, ne pas lui prêter une quelconque subjectivité, elle n'est pas susceptible... quand on dit non c'est non...