Être susceptible

La susceptibilité est la perception émotive d’une forme, qui fait vibrer l’égo et l’attaque dans sa fierté ou son orgueil ou sa vanité. C’est-à-dire dans cette partie de lui-même qu’il considère injustement attaquée, que ce soit volontaire ou involontairement de la part d’un autre. 

Un des grands remèdes à la susceptibilité est la réalisation qu’on n’a pas toujours raison, même si on est fort de sa propre raison. 


BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".


AVANT-PROPOS

 "Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" 

BdM PE-028

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


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Résumé/compilation

 

La susceptibilité est la fille de l’insécurité, elle est la paroi sensible de l’insécurité qui vibre, car le mental n’est pas pur, c’est-à-dire parce qu’il y a encore de l’émotion dans l’homme. 

 

La susceptibilité engendre des réactions de toutes sortes chez l’homme, réactions profondes qui demeurent cachées, réactions de surface qui indiquent l’émotion ou réactions fortes qui engendrent un trop plein d’émotions et peuvent se déchaîner en colère. 

 

La susceptibilité n’est jamais valable, car elle n’est jamais consistante avec la réalité de la situation. Elle est toujours auto-infligée. C’est l’égo qui s’inflige la douleur que provoque la susceptibilité, car il est insécure. Il se fait prendre dans le jeu de la forme. 

 

Si l’égo expérimente la forme et en subit la vibration, sa susceptibilité est proportionnelle à son manque de centricité, à son insécurité. Que sa susceptibilité soit justifiable, elle ne l’est qu’à ses yeux, car c’est lui qui en souffre l’occasion. 

 

Dès que l’égo souffre de susceptibilité son intelligence réelle s’affaiblit, laissant place à l’émotivité. 

 

Si dans le choc de l’expérience, sa centricité était suffisamment grande, il lui serait possible de neutraliser la vibration qui cherche à se loger dans son centre émotionnel et transformer cette énergie, afin de préserver la conscience réelle en lui. 

 

Souffrir de susceptibilité c’est souffrir de soi-même, c’est manquer d’objectivité face à face à la forme qui vous pénètre. 

 

La susceptibilité peut se loger chez n’importe quel être, tant qu’il n’a pas totalement le contrôle sur son émotionnel. 

 

La susceptibilité protège faussement celui qui en souffre, car elle lui fait sentir quelque chose dont il ne veut pas admettre la réalité.

 

La susceptibilité est une mesure précise d’une affliction quelconque de l’égo. 

 

La susceptibilité est un venin qui risque de détruire de bonnes relations humaines, car l’émotif souvent sur-réagit à une forme qui dans un autre moment, pourrait passer inaperçue. Comme l’égo sciemment ou inconsciemment est alimenté par les énergies de l’âme, qui est toujours aux aguets pour la moindre expérience pouvant lui servir. 

 

La susceptibilité provient de l’impuissance psychologique de l’égo, vis à vis un autre égo. 

 

Tant que la susceptibilité n’atteint pas de sommet irraisonnable, elle fait partie de la vie inconsciente et peut servir de baromètre, selon lequel l’être qui se conscientise peut mesurer le degré de l’affliction auquel est sujet son égo décentré. 

 

La susceptibilité peut être ravageante, s’il ne s’avise pas de la contrôler. 

 

Il est évident que la susceptibilité provient de l’insécurité, mais il n’est pas évident qu’elle soit liée à une sorte de fierté, vanité de l’esprit. Ce n’est que dans le mental pur que cette affliction de l’égo cesse totalement d’exercer chez l’homme son effet. 

 

La susceptibilité engendre suffisamment de malaise dans l’émotif pour que l’homme en soit victime, surtout s’il côtoie des êtres qui ont la langue fourchue et les mœurs quelque peu aguerris. 

 

Plus cet homme sera doué d’une sensibilité extrême, plus la susceptibilité sera pénible, car nul ne peut prétendre à l’immunité de la parole, s’il n’est pas au-dessus de la forme qui l’atteint, avec ou sans mauvaise intention. 

 

La susceptibilité peut être maladive, c’est-à-dire stupide, lorsque l’homme s’imagine trop les paroles ou les actions apparemment dirigées contre lui. 

 

La susceptibilité infecte les amitiés entre deux hommes, car celui qui en est victime est toujours sur le point de compromettre son amitié pour des raisons, la plupart du temps fallacieuses. 

 

Puisque la susceptibilité n’est pas évidente à celui qui n’en réalise pas la teneur, elle contribue à diminuer sa centricité, car elle ronge son matériel essentiel, c’est-à-dire son mental. 

 

La susceptibilité déclenche une émotion qui couvre l’intelligence pure, mental de l’homme et c’est justement à la manifestation de cette émotion, qu’il doit ajuster sa vision et ne pas se laisser emporter par la forme que suscite l’émotion en lui. 

 

La susceptibilité projette deux facettes principales. 

 

La première, l’insécurité de l’égo vis à vis lui-même, ce qui le rend sensible à l’attaque intentionnée ou non. 

 

Et deuxièmement, la fierté, l’orgueil ou la vanité de la personnalité. 

 

Mais la susceptibilité souvent créera un climat de méfiance chez l’individu, car sa forme psychologique est la méfiance. 

 

De la susceptibilité on devient méfiant et de la méfiance on devient à l’extrême paranoïaque.C’est infiniment plus rassurant d’être méfiant que paranoïaque et plus normal d’être susceptible que méfiant. 

 

La susceptibilité ressemble à un germe qui peut, si on le laisse se développer et devenir un petit être, la méfiance, qui peut à son tour si on le laisse se développer devenir un monstre, la paranoïa. La méfiance est d’autant plus néfaste pour l’homme qu’elle détruit en lui la nécessité naturelle de dialoguer avec l’homme pour son bien être personnel. 

 

La susceptibilité est mineure, la méfiance majeure, la paranoïa terminal. 

 

La susceptibilité est quelque peu normale tant que l’homme ne puisse connaître les pensées profondes de l’homme. 

 

La susceptibilité affecte l’égo dans son insécurité, la méfiance détruit la sécurité dans l’égo, la paranoïa engendre l’insécurité dans l’égo et finalement le terrasse par la crainte permanente. 

 

Si nous jetons un peu de lumière sur un aspect presque généralisé chez l’homme telle la susceptibilité c’est pour en dévoiler la mécanique voilée qui peut se déchaîner, si l’homme ne voit pas la continuité dans ses faiblesses. 

 

La susceptibilité peut être contrôlée, lorsque l’égo s’arrête dans sa réaction coutumière, face à la parole ou à l’action interprétable de l’homme. 

 

La susceptibilité est un état d’esprit qui provient du fait que l’homme est orgueilleux. 

 

C’est pourquoi la susceptibilité vue du point de vue supramental est une erreur fondamentale de la psychologie de l’homme, il doit être aboli, car elle empêche l’énergie de l’intelligence, de l’amour et de la volonté de bien se former dans le mental supérieur de l’homme.

 

La susceptibilité est une force qui retarde l’évolution de l’homme, bien qu’elle puise la nature même de sa motivation dans la sensibilité extrême de l’égo. 

 

Bien que l’égo soit sensible, bien que l’égo soit délicat dans ses sentiments, dans ses perceptions, la susceptibilité tue en lui sa possibilité d’accéder à un autre niveau de conscience, c’est - -ire à un autre niveau d’intelligence, d’amour et de volonté. 

 

La susceptibilité n’a pas de raison d’être, mais elle est et elle l’est parce que l’homme a en lui trop de fierté, trop d’orgueil ou trop de vanité. 

 

La susceptibilité est une forme d’enfantillage, elle est une forme d’immaturité, elle est immaturité. 

 

La susceptibilité est une forme de corrosion de l’égo, c’est une forme de corrosion qui empêche l’égo de voir au niveau mental, au niveau émotif la clarté parfaite de sa réaction devant l’extérieur. 

 

La susceptibilité engendre dans l’égo avec le temps, surtout s’il passe du stage de la susceptibilité au stage de la méfiance, sans parler du stage de la paranoïa, une sorte de devenir qui empêche l’homme d’entrer en étroite relation avec l’homme. 

 

Il doit réaliser que la susceptibilité est construite avec le matériel mental de son orgueil et voyant ces deux aspects du problème, il peut petit à petit, commencer à contrôler cette maladie mentale de l’homme qui affecte les relations entre les hommes et qui force l’individu susceptible à devenir de plus en plus seul. 

 

C’est pourquoi la susceptibilité est un fossé entre l’homme et l’homme. C’est un fossé qui empêche l’intelligence créative, dans le moindre des hommes, d’éclairer le moindre des hommes. 

 

La susceptibilité engendre avec le temps, l’inquiétude, car elle détruit la paix de l’esprit. 


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Commentaires: 13
  • #1

    Josée (dimanche, 20 octobre 2019 14:47)

    je veux commencer par dire combien cette cassette m'est familière, j'y ai engouffré des années d'écoute parce que je l'avais gardée pour l'écouter soir après soir durant des années d'ermitage. cette cassette réunit le fait d'être susceptible et celui d'être paranoïaque, deux traits auxquels je m'identifiais, alors elle était ma petite séance privée avec ce bernard étrange qui le temps d'une cassette m'était parfaitement compréhensible. la cassette me calmait é-normément soir après soir dans la brunante de mon camp isolé mais elle n'a rien changé dans mon endossement de ces deux maladies. j'étais la reine de la susceptibilité ! et je me voyais accablée, hautement malade de cela comme d'une maladie psychiatrique, mais ça c'était parce que je ne connaissais pas encore les gens, étant dans ma bulle, et que je n'avais pas compris que tout le monde ´méritait' ce titre.

    personne sans exception n'est immunisé contre l'insécurité. quant à la vanité, elle est enfouie plus ou moins profondément mais elle aussi est latente à émerger dans les comportements. il n'y a pas à avoir honte d'être susceptible et perçu comme tel par autrui comme il n'y a pas lieu d'en vouloir à autrui qu'il le soit, parce que ce vibrato est en arrière plan de tout ego qui n'est pas en train de canaliser à fond.

    j'ai grand pitié de l'humanité sur ce point. la susceptibilité souvent sabote les courageuses initiatives de tout un chacun pour construire quoi que ce soit qui ait de la permanence.

  • #2

    Edwige (dimanche, 20 octobre 2019 16:27)

    Pour ma part je découvre cette conférence, il y en a tellement qu'on n'en vient jamais à bout d'écoutes et d'intégrations de toutes ces conférences en un seule portion de vie… A vrai dire elles "tombent" pile poil une à une au moment-même où nous avons besoin d'entendre une chose ou deux qui vont déverrouiller des blocages de l'ego dans son processus de conscientisation…

    De la susceptibilité à la paranoïa il y a un abîme que seule la programmation de l'âme et de l'ego peuvent expliquer. La paranoïa est très assujettie a des formes d'énergies sataniques dont le but programmé est de maintenir l'ego dans de très basses vibrations astrales.

    L'insécurité de l'ego est la chose astrale la mieux partagée au monde, ainsi que son inconscience… Sans pour autant être un "titre" car elle touche, a des degrés divers, toute les classes des hiérarchies sociales planétaires orgueilleuses.

    La vanité quant à elle est l'attribut d'un ego narcissique et insécure affectif à la fois, on peut être insécure, susceptible, orgueilleux mais pas vaniteux...

    Il n'y a aucune honte ni gêne à être porteur d'énergies de susceptibilité, ces énergies ont une fonction qui doit amener l'ego à passer la barre de la mésestime de lui pour entrer dans l'autorité de sa réelle identité.

    Être perçu par autrui comme "susceptible" est doublement subjectif, cette croyance ne fait que supputer une faiblesse en soi qui ne vient que de l'entité qui chevauche l'ego susceptible

    Qu'autrui soit "susceptible" il ne fait que nous tendre le miroir grossissant de ce que nous ne savons pas déchiffrer dans l'invisible, dans les coulisses de l'occulte, c’est-à-dire la vibration qui nous burine pour sensibiliser et renforcer à la fois notre canal télépathique.

    La susceptibilité a eu pour fonction luciférienne de freiner une évolution qui aurait été trop rapide et en dehors de son temps.

  • #3

    josee (lundi, 21 octobre 2019 02:30)

    les rois sont toujours susceptibles, ça vient avec le trône. se dire le roi de la susceptibilité c'est rire jaune, mêler les cartes, fanfaronner avec un constat qu'on traîne comme un boulet. la susceptibilité est le peur éprouvée à la perte de notre carapace. or, comme disait un spécialiste en ouverture énergétique, "notre peur, il faut la manger", manger signifiant accepter de vivre. j'aime tous ces synonymes devenus si importants pour moi aujourd'hui : ´neutraliser', ´désarmer', ´liquéfier', etc. lâcher prise de notre système de valeurs, de jugements et d'images. profitons des moments de susceptibilité pour renverser les vapeurs du bateau de lucifer. cessons de laisser ce trémolo nous freiner. c'est une chance alors faisons-en un pas par en avant.

  • #4

    Edwige (jeudi, 24 octobre 2019 15:42)

    La susceptibilité, comme tout autre réactivité émotionnelle à n'importe quelle attaque supposée ou réelle, n'a jamais de correspondance avec la situation. Elle est toujours en lien avec des vielles mémoires bien crasses de sous évaluation de notre identité profonde. C’est l’égo insécure qui se fait prendre dans le jeu de l'illusion de la forme astrale et de l'entité qui nous chevauche....

  • #5

    josee (vendredi, 25 octobre 2019 17:12)

    oui, c'est un chevauchement par une identité et en même temps c'est une résurgence mémorielle, les deux allant de conserve par affinité de fréquence.

    c'est ça qui nous englobe, cette résonance dont les ondes sont des chaînes extrêmement lourdes. et extrêmement illusoires.

    il n'y a rien qu'un petit recul ne fait pas s'évaporer.

  • #6

    Edwige (lundi, 04 novembre 2019 13:12)

    Oui on pourrait dire aussi que c'est l'entité à l'affut qui chevauche une mémoire qui ressuscite... c'est tellement providentiel pour elle cette énergie renouvelée en abondance.

    Observer sur le champs cette résurgence renvoie dans ses catacombes l'entité qui vibrait à cette mémoire désormais transmutée, mais ce n'était que l'arbre qui cache la forêt de mémoires…

    Il y aura bien d'autres susceptibilités a dégotter de chaque racine de ces arbres...

  • #7

    josée (mardi, 05 novembre 2019 19:27)

    la susceptibilité n'est pas la mère de tous les soupirs, comme je pensais.
    quand la susceptibilité n'est plus un pont astral, il peut lui survivre cette capacité à être parasité.
    après avoir dépassé sa susceptibilité, ma mère est devenue plus visiblement parasitée. son absence de susceptibilité n'est peut-être pas un dépassement mais une polarisation inverse. elle se prête humblement à ce rôle de porte parole de sa 'gang à bonneau'. elle est lucide, elle ne dit plus que rarement je, mais dira 'il veut savoir…" ou "elle trouve que…" car elle connaît les membres de ce groupe qui colle à sa lumière. elle n'a pas réussi à intégrer sa susceptibilité, juste à la faire basculer en son opposé, oû elle est confinée par faiblesse du cerveau..

  • #8

    Edwige (jeudi, 07 novembre 2019 00:47)

    Les êtres supramentaux ne sont ni froids, ni arrogants, ni détachés de quoi que ce soit...
    Ceux qui le croient sont dans une illusion spirituelle, une pensée subjective et une déviation de leur susceptibilité ou de leur orgueil.
    Les êtres supramentaux sont tout simplement dans leur autorité intérieure, après un long et douloureux travail de conscientisation de leur ego.

  • #9

    Josée (jeudi, 07 novembre 2019 18:08)

    la personne qui me demande d'être chaleureuse est spirituelle, y croit, le prêche et cherche à me dominer le sourire aux lèvres. le défi d'une telle relation est créatif et stimule l'évolution.

  • #10

    Edwige (dimanche, 10 novembre 2019 08:14)

    Tout est prétexte a évolution y compris là où on s'y attend le moins…

  • #11

    Josée (dimanche, 17 novembre 2019 19:38)

    on est constamment "pris en défaut"... on est dépassé par la vitesse comme par la lenteur… on est pris au dépourvu par la déception comme par la confirmation !

  • #12

    josée la haye (samedi, 18 janvier 2020 19:42)

    L'involution impose à l'homme l'utilisation d'une mémoire refermée sur elle-même qui sous ses airs d'être un outil dans la satisfaction de tous ses besoins, est un rigoureux algoruthme de contrôle de sa personne.
    ce n'est qu'avec la pénétration de l'esprit que l'homme développe une conscience en accord avec ses besoins. Il gagne en autorité sur sa vie mais cette autorité se concentre sur la réalisation de ses besoins.
    oû entre la susceptibité là dedans ?
    La conscience ne répond qu'à elle-même, la conscience est une lumière en devoir d'éclairer tous les besoins de l'homme. et des besoins il y en a mille, parce que durant l'involution, le ménage ne se faisait jamais. en sortant de l'involution, l'homme constate le chaos qu'il a besoin d'ajuster et ce faisant, il se génère même de l'entropie qu'il a besoin de mater.
    l'orgueil se révèle. conscience ou pas, il se révèle, déploie sa force. come une armée dont les factions ont pour nom par exemple : la vanité, la hâte d'évoluer, l'anxiété de ne pas pouvoir évoluer, le narcissisme de se voir évoluer, le désir d'être vu comme évolué... et la susceptibilité de ne pas être reconnu comme évoluant.
    oui, toutes ces attitudes existent depuis longtemps. ce qui est nouveau, c'est l'impact vibratoire commotionnant qu'elles font maintenant vivre à un homme en conscience. c'est comme ça qu'opère la conscience : en acculant l'ego au murextrêmement vibrant de son attitudes

  • #13

    Edwige (mercredi, 25 août 2021 18:17)

    Il arrive un temps où l'exaspération = lutte avec le double, nous fait saisir l'importance de ne pas se laisser engluer par l'astralité d'autrui..., Il arrive un stade où l'expérience, ou quelle que soit la lutte, ou confrontation d'egos divers et variés, ne sert plus l'évolution, comme ce fut le cas dans le passé... au contraire elle est issue d'égrégores qui tentent de freiner le passage au travers du karma planétaire...