Étude comparative de l'intégration féminine et masculine


BDM: "D'autres personnes continueront ce travail de développement pour comprendre réellement les mécanismes occultes de la conscience. Ce sera important pour l’homme de pouvoir, en tant qu’ego, se référer à cette science-là pour comprendre sa relation avec sa source, donc avec les forces voilées qui font partie de sa supraconscience, afin de se protéger sur la terre et de vivre une vie de plus en plus agréable".


AVANT-PROPOS

 "Être sur le chemin de l’évolution c’est mener une étude" BdM PE-028

Ces FOCUS sont des espaces réservés aux échanges d'idées pour faire évoluer l'instruction "descendue" par BDM de façon créative, collaborative et générative. Prière de ne pas déformer, ni plagier, les transcriptions originales de l'œuvre de Bernard de Montréal proposées pour étude, dont la seule référence est l'audio qui l'accompagne. Un résumé personnel, des citations et/ou des liens sont admis pour initier ces échanges. Vous pouvez proposer un thème, un sujet qui sera mis en ligne après vérification. Aucune inscription ni abonnement n'est requis, l'anonymat est garanti.

** Polémiques stériles et énergivores, non-respect de la parole de l'autre, critiques malveillantes, tribune spirituelle pour ego surdimensionné… iront directement dans la corbeille.


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Étude comparative de la femme et de l'ho
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26- étude comparative de l'intégration f
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06 - L'homme (le mâle) - Note conf privé
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L’intégration, c’est-à-dire croissance par en dedans (intérieur) tu peux croître à l’extérieur et en dedans. L’homme et la femme c’est bien différent la croissance par en dedans.

Ce n’est pas à cause de nous autres que les êtres souffrent, c’est parce qu’ils n’ont pas de conscience.

Un couple c’est un laboratoire, c’est de la grosse chimie. Il y a beaucoup trop de difficultés dans un couple. 


Étude de la femme (résumé)

La femme c’est un être à 2 faces, elle pleure et rit.

La femme a de la difficulté sur la Terre à supporter sa programmation, c’est parce qu’elle a tendance à mettre ses propriétés sur les autres, au lieu de les mettre sur elle-même.

Le passé pour la femme c’est du poison, elle le nourrit comme elle allaite un enfant. 

Une femme ce n’est pas un sac à pénis, sinon les égrégores vont sortir, se manifester. Ex. Objet, des partenaires. 

La femme doit en arriver à ne plus se laisser posséder par l’homme car elle perd de l’énergie de son printemps. 

La femme elle n’a pas de tête, elle a la tête de l’homme. 

Pour que la femme ait sa tête, il faut qu’elle réalise ce qu’elle a manqué. 

Il faut qu’elle réalise dans tout ce qu’elle a manqué pour s’épanouir. 

Un jour la femme doit avoir sa tête 

La femme c’est la meilleure des chirurgiens. 

Il n’y a rien de mieux qu’une femme pour changer le caractère de l’homme à cause de sa sensibilité. 

La femme elle a besoin du caractère, mais elle a besoin de mettre un adoucisseur dans son caractère pour transmuter son homme, sinon pour un homme elle devient chiante et à moins d’être faible, il va vouloir se libérer. Pourquoi ?

Une femme ayant du caractère ça devient chiante et un homme il va s’en chercher une autre.

Pourquoi qu’il ne faut pas que la femme soit chiante ?

Parce que la femme techniquement, elle a un système nerveux, elle est capable de faire sauter n’importe lequel deshommes. 

Une femme qui se plaint trop de l’homme, elle doit se trouver une vie. 

En attendant, elle ne doit pas attendre, elle doit s’occuper, voyager. 

Plus une femme a du caractère, plus elle est sujette à être seule, car elle est comme une lampe de poche, elle voit les défauts très vite. 

La femme essentiellement divisée entre elle et l’homme. 

La femme, le retour qu’elle reçoit de l’amour n’est pas à la grandeur du don de soi, à ce moment-là, elle peut être plongée dans la comptabilité de la colonne négative de la vie.

Le travail pour une femme c’est une grande protection, mais il ne faut pas qu’elle se laisse exploiter, il faut qu’elle augmente ses talents. 

Elle doit se rendre indispensable. Le travail c’est plus important pour une femme que pour un homme. Sinon il y a des risques de tomber sous la dépendance ou sous la soumission de l’homme. 

La femme qui travaille n’a plus besoin de l’homme, elle est moins dominée.

La femme il faut qu’elle soit sauvée seule. Avec l’homme c’est un plus.

La femme est une exclusivité à elle-même, mais elle doit le devenir au monde. 

La femme c’est la relation, elle veut la paix. 

Il faut que la femme se sente bien. Elle est bien avec un homme et elle est bien sans l’homme. 

La femme c’est l’exploitation spirituelle de la beauté, ça veut dire, c’est l’exploitation de la beauté qu’elle projette dans le monde. 

La femme c’est un être d’amour qui devient victime de l’amour. 

La femme n’a pas de centre naturel, il faut qu’elle s’en crée un.

En développant son centre, la femme ne doit pas s’endurcir. 

Si elle s’endurcit, elle va perdre l’amour. 

Elle doit développer un centre réel et non de l’attitude. 

C’est facile pour la femme de s’endurcir car l’homme est inconscient.

La femme intègre à travers la crainte de ses émotions. 

L’émotion chez la femme c’est le noyau de sa conscience, elle en devient victime si elle n’est pas consciente. 

La femme doit passer au deuxième étage pour diluer l’atmosphère astrale pour dissoudre la crainte. 

La femme peut trop aimer, tout est correct, mais si l’homme ne la reçoit pas, la femme n’a pas le droit de trop aimer. 

Absorber de la négativité ça veut dire que la femme ne peut pas intégrer sa conscience sans en avoir les effets secondaires, c’est-à-dire comprendre le côté négatif de l’homme. 

Quand la femme est passée à l’étude ou à l’analyse, elle ne se plaint plus. 

La femme est comme captive et non l’homme. 

Quand la femme transmute, ça veut dire qu’elle intègre son énergie, elle dépasse ses contraintes. Ses contraintes c’est la boîte de pandore. 

Elle prend de l’avancement elle s’occupe d’elle-même.

La femme ne doit pas oublier de vivre pour débloquer des énergies.

 


Étude de l’homme (résumé)

L’homme c’est un être qui a de la difficulté à se libérer. 

Il a de la difficulté à vivre son bonheur comme il veut. 

La vie pour lui n’est pas plus facile que celle de la femme.

L’homme c’est important pour lui de se valoriser dans le succès. 

Le succès c’est d’avoir une vie qui te donne un certain appétit. 

Un homme qui ne bénéficie pas d’un appétit dans la vie, il tombe dans la routine. 

L’homme doit suspendre son fétiche pour la sexualité, à cause de cela il va y avoir des égrégores d’inexpériences qui vont se matérialiser dans l’expérience du couple. 

La sexualité ce n’est pas la fin du monde, ça ne veut pas dire que ce n’est pas important la sexualité, mais sachez la vivre sans que ce soit un fétiche.

L’état de fétiche c’est que l’homme n’est pas conscient que ce n’est pas nous autres qui travaillons sur sa sexualité, car si l’homme était conscient il saurait que ça vient d’en haut, tout est contrôlé d’en haut.

L’homme c’est un grand accapareur d’énergie féminine inconsciemment malgré lui.

L’homme a besoin de se taire et écouter la femme, car il a besoin de comprendre des choses. S’il n’écoute pas la femme, il ne pourra jamais asseoir ses assises et il risque de ne pas voir sa femme entrer dans le printemps de sa vie. (Libérés, sécurité et ils bénéficieront de la vie.)

L’homme a deux têtes, la sienne et la sienne. 

Un homme c’est un violeur de territoire et il ne s’en rend même pas compte qu’il viole le territoire de la femme.

Le respect de l’homme pour la femme vient tranquillement, quand il découvre l’intelligence de sa femme. 

Un homme c’est toujours un petit gars en culotte courte, ça veut dire que la stature que se donne l’homme, ce n’est pas la stature que la femme lui donne.

Ça prend beaucoup de maturité pour écouter une femme.

La femme a trop tendance à se plaindre, parce que le caractère de l’homme n’est pas transformé.

L’homme s’il est capable d’éliminer la crainte, il est capable d’aller très, très loin dans la vie. L’homme qui contrôle sa crainte, gagne sa vie et celui qui ne contrôle pas sa crainte, perd sa vie.

Le succès pour l’homme c’est l’essence de la vie dans le monde c’est vrai, mais ce n’est pas réel. 

L’homme il a besoin de travailler mais il ne faut pas qu’il se tue au travail. 

L’homme s’il ne comprend pas la femme, il ne peut pas être heureux.

La vie ne vous appartient pas, on vous l’a prêtée.

L’homme intégré ne pourra pas passer outre de l’émotion.

Pour l’homme lui, il transmute son mental, c’est-à-dire de ne pas se prendre au sérieux.

L’homme est un être sans conséquence, c’est-à-dire inconséquent, moins émotif, moins réel, moins psychique, à faire de la culture.

L’homme est réel quand ça fait son affaire. 

L’homme se prend au sérieux, c’est une illusion de l’ego. 

L’homme, écouter la femme, pour lui c’est secondaire. 

Que l’homme lui en s’occupant de sa femme, il prend du recul pour pouvoir écouter sa femme, l’homme avance quand il prend du recul pour s’occuper d’elle. 

Trop d’hommes perdent la femme parce qu’ils ne reculent pas dans le travail.


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Commentaires: 20
  • #1

    josee (mercredi, 02 octobre 2019 03:22)

    elle naît maintenant la communication entre les sexes et là c'est l'homme qui accouche.

  • #2

    Edwige (mercredi, 02 octobre 2019 11:28)

    L'homme, qui a eu aussi une expérience de femme dans d'autres incarnations, garde dans ses mémoires le souvenir et l'énergie de cette expérience d'accouchement, fusse-t-elle de lui-même ou d'un enfant…

    La nouveauté est sans doute la réalisation de l'équilibre des forces qui résident dans les pôles féminin/masculin de chacun de nous que nous soyons du sexe mâle ou femelle dans cette vie ou d'autres à venir…

  • #3

    josee (vendredi, 04 octobre 2019 15:19)

    pour l'homme en couple, se défaire du carcan millénaire de sa supériorité conjugale est un revirement de sa couenne épaisse oxygénant son être foetal. pourquoi l'être soudain veut-il se libérer ? est-ce que l'ego perçoit soudain son existence ? qu'est-ce qui met l'ego au parfum de la magnitude du réel ? est-ce un senti d'intelligence dans la communication conjugale où l'a conduit son développement du respect ?

  • #4

    Edwige (mardi, 08 octobre 2019 07:59)

    L'homme et la femme veulent se libérer de la matrice en conscience après avoir constaté la nécessité d'équilibrer leur polarité mâle et femelle en eux pour se sentir mieux dans leur peau…

    A ta question pourquoi l'homme veut-il se libérér du carcan millénaire de sa supériorité conjugale ? Une première raison, tout a fait subjective et partie prenante, la femme ne supporte plus le joug de la domination et du contrôle d'où qu'ils viennent surtout dans son couple... Ce qui met la puce à l'oreille c'est que sa femme se retire de ses attributs de mère pour vivre son individualité, l'homme n'a plus besoin d'une mère au foyer.

    Le développement du respect dans la communication du couple se fait par la volonté et l'intelligence qui sont les ingrédients principaux pour la création des doubles universel respectifs… On est pas sortis du bois à ce niveau-là tant que la dualité des doubles lucifériens ne s'est pas tassée en nous…

  • #5

    josee (mercredi, 09 octobre 2019 02:41)

    si je lis bien ta pensée, chez les hommes en couple on a que l'être veut se libérer parce qu'il est dégoûté de l'infantilisme qui l'emprisonne.
    et il est dégoûté de l'infantilisme qui l'emprisonne parce qu'il s'en rend compte.
    et il s'en rend compte parce qu'il en est sevré par le boycott de sa femme de son rôle de mère. c'est ça ?

  • #6

    Edwige (mercredi, 09 octobre 2019 03:30)

    C'est d'abord la femme qui est écoeurée de la domination de l'homme sur elle, en lui retirant son énergie et en lui rendant son tablier de mère elle coupe le cordon ombilical qui fait passer l'enfant à l'âge de raison... Mais l'adolescence de ce nouvel enfant sera longue car il n'a pas l'intelligence de la femme, il est moins connectée aux plans, il a encore trop besoin de "briller" et de vivre par procuration sur les énergies d'autrui par ses complexes messianiques = vs ego "résistant"...

  • #7

    josee (mercredi, 09 octobre 2019 13:21)

    c'est comme ça, l'homme a appris à admettre toutes les dominations sociétales au nom de la civilisation. il n'a pas ce mot à la bouche : se libérer. il doit s'imprégner du spectacle de sa femme libérée ou en train de se libérer pour allumer son ego buté au phénomène. c'est d'abord et avant tout de ma propre pensée que je me libère selon une séquence d'étapes qui s'accorde avec mes besoins. elle n'est pas venue vite pour moi l'étape de ma libération de la domination de l'homme, il a fallu qu'elle profite de mon entraînement à me libérer. maintenant c'est installé. c'est un élément courant de ma nouvelle spontanéité vu que, contrairement aux patrons et aux membres de la famille, mon homme et moi partageons notre quotidien. j'apprends à me libérer sans exprimer nécessairement mon intolérance, pour le plaisir de détruire mon sursaut de temps en temps. et ce spectacle a un impact. mais parallèlement je poursuis la lutte contre mes attitudes. l'archétype de la mère, c'est du manque d'identité rempli par du suicide identitaire. il y a une nuance entre expression de soi et ingérence et c'est vital au couple que je veille aussi à ça pendant que je cède à mon homme (à l'esprit en lui) les rennes de son évolution. pourquoi évaluer quoi que ce soi ? rien n'est linéaire chez personne, toute comparaison s'avère un jugement et toute attente devient une déception.

  • #8

    Edwige (mardi, 15 octobre 2019 10:44)

    L'homme et la femme, pour être totalement libérés de la domination l'un de l'autre ou de l'un sur l'autre, doivent chacun d'abord travailler à se libérer de la domination de ses conditionnements dans lesquels sont incrustés tous les engrammes planétaires et ancestraux, les pensée et les vieux schémas archétypaux en font parties intégrales.

    il faut quand même reconnaître que la femme est un peu plus en avance que l'homme dans cette habileté à la libération, lui il est plus habile dans d'autres domaines mais dans ce cas on est pas en compétition d'habileté mais de constat... J'aime bien ta définition du suicide identitaire, couper le cordon très tôt avec sa mère et son père favorise une ressuscitation rapide !

    Apprendre à se libérer est un gros travail de l'ego qui d'abord doit éradiquer orgueil, vanité, vantardise et autres dérivés narcissiques dont l'ingérence sur autrui participe. En effet, ne rien attendre de personne mais de soi-même, sans mettre la charrue avant les bœufs au risque de grandes déceptions.

  • #9

    josée (vendredi, 25 octobre 2019)

    la femme ne profita pas du concept de la hiérarchie.

    elle a tout sur la tête tandis que l'homme se situe au cœur de la hiérarchie, il la nourrit et la supporte parce que c'est mutuel.

    donc quand bernard dit qu'avec la conscience, on ne reconnaîtra plus aucune autorité au dessus de soi, cette phrase résonne naturellement avec la femme.

    il y avait beaucoup d'homme aux conférences de bernard mais la grande majorité était des femmes, il va sans dire : c'est partout comme ça dans les mouvements sociétaux du nouvel âge.

    et qu'arrive t-il à toutes ces femmes qui depuis bernard tassent la domination de leur pensée ?

    j'imagine que, comme moi, elles ont profité de l'occasion pour se penser supérieures à leurs hommes.

    cette pensée là, elles l'ont laissé les dominer.

    on est encore dans la domination mais dans la polarité inverse.

    c'est le réflexe nécessaire et transitoire après un grand déséquilibre.

    il y a ce passage obligé de la comparaison avantageuse, puis il y a écoeurement de la comparaison comme pensée.

    l'homme a une approche bien à lui des choses, et la femme peut s'amuser à découvrir cette race qui n'est quand même pas aussi extra-terrestre que ceux qui nous manipulent homme et femme pareillement.

    la femme fut de tout temps une grande observatrice à sa façon et il est temps qu'elle incarne l'esprit scientifique qu'elle a tenu secret au nom de la féminité soumise, et qu'elle voit !... quand elle interagit avec un porte-pénis.

  • #10

    josee (vendredi, 01 novembre 2019 13:29)

    les hommes sont des gros cables électriques, ils ne sont pas dans la nuance. leur volonté est agissante avant d'avoir pu percevoir la situation. ils cultivent leurs oeillères et déploient leur force à l'intérieur de leur champ de vision.
    les femmes ne sont pas structurées pour prendre de la haute tension. la plus grande délicatesse de leur système nerveux leur confère une grande réceptivité aux données subtiles, intuitables, qui font s'expandre leur champ de vision. elles ont le mérite du courage de leur sensibilité mais elles atteignent plus vite que les hommes les limites de tension nerveuse qu'elles peuvent canaliser.

  • #11

    Edwige (samedi, 02 novembre 2019 09:38)

    Au 21ème siècle nous charrions encore plein d'idées reçues sur ce qu'est l'homme, sur ce qu'est la femme… Avec l'évolution des mœurs et l'éducation universitaire la proportion inéquitable d'hommes et de femmes "à gros câble électrique, a volonté agissante a vue longue portée", font que les femmes deviennent de plus en plus structurées pour s'adapter aux hautes tensions énergétiques. Ceci aux fins de subvenir, souvent mieux que les hommes, aux changements vibratoires des corps physiques et subtils…

    Les seules limites que la femme doit arriver à dépasser sont celles des frontières relationnelles et émotionnelles à cause justement de leur plus grande réceptivité aux mondex subtils qui élargissent à 380° leur perception de l'invisible.

    En réalité le concept de hiérarchie n'est qu'un concept "musclé" qui perdure encore allègrement dans toutes les sociétés…

    Le concept de "maitresse femme" à également une place hiérarchique où la femme domine le "muscle" de l'homme d'une autre façon que la force physique…

    Que l'homme soit le pourvoyeur de fonds est un fait dans la plupart des couples encore aujourd'hui. Il rend ce concept irritant pour la femme dominée parce qu'elle n'a pas d'autonomie financière, faisant d'elle une prisonnière du bon vouloir "nourricier" de l'homme. Ce qui est mutuel dans ce couple-là c'est qu'il donne le gite et le couvert et elle l'énergie sexuelle. Est-ce réellement équitable ?

    Lorsque la femme se conscientise, et que son pourvoyeur ne reste qu'à l'étage de pourvoyeur de fonds, oui définitivement elle ne peut plus reconnaitre aucune autorité de sa part au-dessus d'elle, ni sexuellement, ni nouricièrement.

    Une femme "intégrée" dans son intelligence et sa volonté ne se sentira pas supérieure à cet homme-là. Elle se sentira au contraire différente des autres femmes parce qu'elle, depuis la reconversion de sa conscience, elle "acte" des compromis "intelligents" là où les autres subissent encore les déséquilibre d'une relation "esclavagière".

    La femme ne changera jamais l'homme et vice versa, les hormones qui régulent leur organisme ne le permettent pas, c'est ce qui donne à tous deux une approche émotionnelle des choses et de la vie différente. De fait le couple peut fonctionner, ou pas, de surcroit parce que l'homme et la femme sont génétiquement polarisés (féminin/masculin) avec les variables de leurs concepteurs respectifs qui les manipulent occultement.

    La femme devient scientifique d'elle-même dans l'observation des actions/réactions au sein d'une relation partenariale ou duelle. Le sexe fort aujourd'hui n'est plus celui qu'elle croyait dans sa naïveté de femme soumise… Sa dé-croyance peut la surprendre au début, puis son intelligence rétablit la mesure de ce qui devient juste pour elle…

  • #12

    josee (lundi, 04 novembre 2019 02:31)

    la vie cesse d'être une galère sans possibilité de calmer la tension nerveuse. la vie devient une aventure dont on devient le héros muni d'un super pouvoir, celui de se maintenir à flot au niveau des nerfs. le couple devient une des couches de l'aventure. tout est à découvrir. il y a soi. il y a l'autre. et ces deux aventures scientifiques se vivent en deux langues distinctes qui s'appprennent en cours d'aventure. non seulement c'est plus sain pour le système nerveux que l'ancienne galère, mais c'est aussi beaucoup plus intéressant.

  • #13

    Edwige (lundi, 04 novembre 2019 10:56)

    La vie cesse d'être déplaisante quand on se sait être le héros de sa vie, celui qui joue chaque scène avec perfection, qu'il y ait de l'émotion, de la nervosité ou non, ce ne sont que des énergies de propulsion, à nous de dépolariser ces énergies qui nous propulse toujours plus loin…ça devient intéressant quand c'est vécu consciemment, a deux encore mieux car la propulsion prend la vitesse des turbos moteurs…

  • #14

    josee (lundi, 04 novembre 2019 13:01)

    il y a cette double impression. celle de la richesse de l'offre, de la panoplie du possible. et celle que ce qu'on vit est quelque chose qui s'accomplit, où le mot "s'accomplit" a deux sens : le sens ancien, fataliste, d'une programmation qui s'accomplit, et le sens de la réussite.

    ce qu'on vit est quelque chose qui s'accomplit, ça veut dire qu'on est hercule affairé à ses douze commandes mais puissance mille, parce qu'on développe notre force à chacun de nos "travaux", force de discernement, force de respect, force de contenance du fait qu'on vient de manquer de respect ou de discernement, car ces travaux ne sont pas abordés avec la même commande de force, et ça, il faut s'en donner le droit.

  • #15

    Edwige (mardi, 05 novembre 2019 04:08)

    Placer la barre très haut dans nos exigences de qualité relationnelle nous amène à vivre un combat entre ce qui est et ce que nous aimerions qui soit. En se détachant de la dualité dans notre esprit on arrive à quelques bons résultats après être passé par tous les doutes possibles. Cette souffrance de la transmutation du corps mental, jusqu’à l'équilibre de nos énergies, est le prix à payer pour notre individualité, "se donner le droit" fait partie de cette individualité et de notre autorité intérieure.

  • #16

    josee (mardi, 12 novembre 2019 02:19)

    la femme consciente ne se soumet plus et se donne le droit de se comporter hors des sentiers battus pour contester son homme.
    elle ne se soumet plus à ses conneries intérieures qui accordent trop de droitt à son homme.

    dans un même élan, elle ne se soumet plus à ses conneries intérieures qui nient à son homme le droit d'être ce qu'il est.
    juger, c'est se soumettre au jugement et c'est faire subir un egregore au couple.

    EN MÊME TEMPS la femme expérimente toutes ces formes de soumissions. elle goûte à ce que veut dire la liberté en se livrant à la répression du droit d'être, son droit d'être et le droit d'être de son homme.

    si elle épouse cette expérimentation, déjà elle exercera un droit et apprendra même graduellement à accorder ce droit exploratoire à son homme.

  • #17

    Edwige (mercredi, 13 novembre 2019 06:55)

    Il n'y a rien à juger en quoi que ce soit, le jugement est une surimposition de pensées qui ne nous appartiennent pas… quand est-ce qu'on va se souvenir définitivement de cela ? Le droit à la critique objective et consciente n'est pas jugement.

    Les femmes conscientes ont chacune des modes opératoires différents, selon la nature de leurs relations karmiques et de leurs programmations, pour se donner le droit de ne plus se soumettre et contester ses relations aussi bien dans le couple, au travail qu'en amitié.

    Elle ne nourrit plus ses conditionnements moralisants, culpabilisants, spirituo-religieux, ni même ses attachements conditionnés aux droits des autres qui peuvent bien le prendre sans sa permission.

    En effet le karma de soumission de la femme est fait pour qu'arrivée à l'écœurement de cette soumission elle SAIT ce que veut dire être libre… du coup elle se donnera le droit de rendre libre son partenaire de la domination qu'elle aussi exerce sur lui.

  • #18

    josee (jeudi, 21 novembre 2019 12:58)

    le problème dans l'intolérance aux attitudes inconscientes de l'autre, c'est la naïveté qu'on nourrit. mais le fait est que commencer à gérer son couple sérieusement bascule dans de la croyance qui se prend au sérieux. or le bien et le mal c'est subjectif. tu as raison de remplacer ça par une critique sans jugement.

    c'est en se polarisant ou non dans l'instant qu'on donne ou non à autrui le droit à son expérience du moment. le droit que l'autre se donne peut influencer mais pas nécessairement et pas nécessairement dans le sens souhaité par l'autre.

    "Le droit à la critique objective et consciente n'est pas jugement... " ton idée pourtant simple me remet des choses en place. je la garde.

  • #19

    Edwige (vendredi, 06 décembre 2019 03:25)

    Le droit à la critique objective et consciente n'est pas jugement dès l'instant que nous ne sommes plus assujettis aux croyances spirituellement naïves en l'amour planétaire, dès l'instant qu'on respecte sa vibration tout en respectant la vibration de l'autre... On se manque de respect à soi et à l'autre quand on ne respecte pas les plans de vie et programmations qui sont hors de notre contrôle

    Décider de gérer son couple est un acte prétentieux car nos programmations karmiques sont hors de contrôle de notre volonté, ce que nous avons à vivre avec l'autre est acteur et partie prenante de notre évolution planétaire où tout est polarisé amour/haine, ce sont des énergies expérientielles de l'âme. On se prendra au sérieux, encore de l'expérience de l'âme, tant qu'on n'aura pas intégré le principe de l'Amour qui est un Amour cosmique, énergétique, intelligent...

  • #20

    josée la haye (samedi, 18 janvier 2020 21:02)

    toute pulsion qui nous vient a sa place vu qu'elle est programmée, mais justement, la programmation est un chemin et des changements ont lieu à mesure que l'homme réussit à intégrer sa programmationé
    un jour, fonctionnant à partir de sa lumière, l'homme verra doucement poindre en lui la décision de contenir les pulsions qui ne s'inscrivent plus en syntonisation avec sa lumière. des comportements réflexes s'estomperont par eux-mêmes. une sorte de sagesse le remplira et dans ce terreau l'idée de gérer son couple sera iconoclaste. il n'y aura plus qu'un ajustement interne de sa propre peur et de ses propres réflexes de domination dans le quotidien du couple. la dérive vers la spiritualité étant un danger permanent, la personne testera sa capacité de sevrer les reflexes de cet ordre, ce qui exigera un sens critique aiguisé, voire exaspéré jusqu'au jemenfoutisme spirituel. le respect deviendra la flamme qui en ne vacillant jamais témoigne que la personne est en possession d'elle-même, qu'elle soit gentille etc. ou pas.